Le marché Cloud bruisse de rumeurs concernant le lancement imminent par Microsoft d’un nouveau produit : Cloud PC as a Service. Cette dénomination ne laisse planer aucun doute : il s’agit d’un poste de travail virtuel Cloud hébergé par le géant de Redmond. L’occasion de faire le point sur cette technologie en voie de franchir un nouveau palier.

Vous le savez, les postes virtuels sont un peu notre marotte. Nous vous en parlons régulièrement, car il s’agit pour les PME d’une alternative avantageuse aux postes physiques. Si Amazon Web Services domine ce marché, classé sous la dénomination DaaS – Desktop as a Service, la concurrence fourbit ses armes pour ne pas laisser la firme de Jeff Bezos occuper seule ce segment.

Il faut dire que le produit d’Amazon est particulièrement abouti, et a laissé sur place des concurrents bien plus prestigieux. C’est d’ailleurs la solution que nous privilégions pour nos clients, même ceux généralement sensibles du secteur de la finance, car il est stable, fiable, et parfaitement sécurisé. Pour ne rien gâcher, il est disponible sur à peu près n’importe quelle plateforme, et en quelques clics, ce qui le rend mobile par nature.

Si Microsoft a tenté de répondre il y a maintenant 18 mois avec la mise à disposition publique de son Windows Virtual Desktop, le marché a répondu mollement. Il faut dire que, fidèle à son habitude, le géant du logiciel a livré une première mouture du produit qui n’était ni simple à déployer et configurer, et dont l’administration et la gestion des coûts était chaotique. Autrement dit : pas vraiment fini. Une seconde version est d’ailleurs sortie assez rapidement, qui n’a que moyennement rectifié le tir.

Microsoft n’avait pas visé juste avec Windows Virtual Desktop. Mais la firme de Redmond est pleine de ressources… et de trésorerie : elle peut se permettre ce genre d’erreur.

Dans les faits, là où Amazon fourni une gamme de machines qui en sont vraiment – comprenez par-là qu’elles disposent de processeurs et de mémoire dédiés, Microsoft se reposait sur son infrastructure Azure pour déployer une usine à gaz et répartir un pool de ressources entre un nombre prédéfini d’utilisateurs. A l’extrême limite, il était possible de reproduire le modèle d’Amazon, mais avec des coûts sans rapport, et au prix d’un effort de configuration sans commune mesure.

100 fois sur le métier, Microsoft remet son ouvrage

On en était donc là il y a quelques semaines, avant que les rumeurs d’un produit équivalent, dénommé Cloud PC as a Service, ne refassent surface. Car ce produit a déjà été évoqué par le passé, sans qu’on n’en voie le bout du commencement d’une phase de test. Les choses semblent maintenant plus sérieuses, puisque les bruits de couloir se font plus insistants, et que Microsoft pourrait bien profiter de son grand événement annuel Ignite en Juillet pour lancer officiellement son nouveau produit.

Le timing, en dehors de coïncider avec un événement porteur pour l’éditeur, n’a probablement rien d’anodin. Amazon, pionnier du secteur, devrait annoncer prochainement une mise à niveau majeure de son AWS Workspaces, en déployant le service sur Windows 2019 Server. Les postes virtuels d’AWS sont en effet encore cantonnés sur Windows Server 2016, une version pas encore obsolète mais plus vraiment jeune, et qui souffre de quelques manques fonctionnels par rapport à Windows Server 2019, une version pas vraiment récente non plus.

Parti en tête depuis longtemps, AWS se devait de réagir

Amazon, qui a imprégné sa marque dans le monde du Cloud avec un développement produit débridé, n’a pas pour habitude de laisser ses solutions devenir obsolètes. Et pourtant, AWS Workspaces, qui est un des dix produits Amazon Web Services les plus vendus sur le continent américain, perdait gentiment de sa superbe en même temps que le temps passait. La faute probable à des discussions tendues avec Microsoft concernant les licences Windows qui équipent Workspaces.

Le temps était donc venu pour AWS d’accélérer la cadence, et de reprendre la main sur un marché qu’elle maîtrise. D’autant que la course pourrait ne pas s’arrêter à ces deux acteurs. OVH, le leader européen du Cloud, quoiqu’encore marqué par ses déboires récents, se tourne vers l’avenir.

OVH et Octave Klaba entrent dans la danse du poste virtuel Cloud

L’hébergeur français a racheté au début du mois Blade, la spécialiste du PC en ligne dédié aux jeux. Pour OVH, il s’agit d’un coup stratégique de premier plan pour acquérir une technologie qui pourrait bien lui permettre de monter aussi en gamme dans le monde du PC virtuel. Et proposer à terme ce type de service sur ses infrastructures.

Les acteurs du poste virtuel Cloud préparent une bataille qui aura pour enjeu la virtualisation du poste de travail

Le marché du poste virtuel Cloud est donc bel et bien en ébullition. Pour Microsoft, c’est une petite révolution. Son approche jusqu’alors consistait à adresser ce secteur en se basant sur Azure, son offre d’infrastructure Cloud à la demande. Cela permettait de ménager la part de l’entreprise dédiée aux postes de travail et à Windows 10.

En lançant Cloud PC as a Service, elle transfèrera à terme une partie de ses revenus liés aux licences Windows vendues au travers des fabricants de PC – Dell, HP, Lenovo et les autres – vers sa division Cloud. Avec de meilleures marges à la clé, dues à l’absence d’intermédiaires. Cette transition prendra du temps, mais elle est dans la veine du tournant qu’a pris Microsoft depuis maintenant plus de 10 ans avec ses offres Cloud : ne plus se cantonner au rôle d’éditeur, et devenir exploitant de ses propres solutions.

En tout état de cause, ces nouveautés doivent être interprétés par les PME suisses comme un signal fort. Tout simplement parce que Microsoft dispose de la puissance pour faire basculer tout un marché. Et aussi parce qu’elle vise depuis toujours le segment des PME, où elle dispose d’un écosystème de partenaires bien ancré. Le déploiement des infrastructures Microsoft en Suisse depuis 18 mois, et l’arrivée d’AWS sur le sol helvète en 2022 renforcent évidemment ces signaux.

Les efforts Marketing seront donc à n’en pas douter orientés dans ce sens dans les mois qui viennent. A vous de voir alors si vous serez précurseur ou suiveur. En ce qui nous concerne, la question ne se pose plus.

Emmanuel Dardaine

emmanuel dardaine expert cloud

FIDES, la Fondation Immobilière pour le Développement des Entreprises Sociales, est une émanation de la Fondation Hans Wilsdorf. Sa mission : mutualiser les moyens d’institutions sociales du canton de Genève. Et, dans un contexte de raréfaction des ressources, pouvoir en affecter une plus grande part aux bénéficiaires. Récit d’un projet (plus que) novateur. 

Créée en 2017, FIDES, au travers du projet Tourbillon, permet à des organisations comme Croix-Rouge genevoise, Partage ou Pro Juventute Genève, de mettre en commun leurs ressources pour faire face à des financements toujours plus délicats. Parmi elles : deux bâtiments du campus Tourbillon à Plan-les-Ouates – d’où le nom du projet. C’est là que les 10 organisations sociales participant au programme s’installeront dès 2021. 

Mais l’étendue de ce projet de mutualisation ne s’arrêt pas là : il touche en effet l’entier des moyens techniques. Un exemple : un restaurant sera exploité sur l’attique d’un des deux bâtiments, et une laverie ultra-moderne sera partagée par 3 institutions, avec des capacités de traitement inédites. Les technologies de l’information ne sont évidemment pas en reste, et c’est là précisément que la collaboration entre FIDES et Steel Blue prend tout son sens. 

Un défi innovant

Car  si des coopérations existent dans le domaine social, elles n’avaient jamais concerné les systèmes d’information, qui représentent pourtant un budget important. Steel Blue accompagne donc depuis 2018 FIDES et les 9 participants sur ce chemin de la mutualisation de l’informatique et des télécommunications. Avec un périmètre très large, s’étendant des connexions Internet aux applications métier (ERP) en passant par la téléphonie et les impressions. 

« Jamais un tel projet de mutualisation, avec un spectre aussi large, n’avait été lancé sur Genève. C’est inédit sur le canton. Les parties prenantes au projet se côtoient, et partagent de nombreuses problématiques IT. Mais elles n’avaient jamais réussi à les adresser ensemble, à cette échelle. C’est là que réside une des réussites du projet Tourbillon. »
Pierre-Yves Tapponnier, Directeur de FIDES 

Et le périmètre ne s’arrête pas aux portes du campus, puisqu’une part seulement des collaborateurs des institutions s’installera dans les nouveaux bâtiments. Les lieux de vie et d’accueil de Clair Bois ou d’Ensemble, pour ne citer qu’eux, ne seront pas transférés. Mais ils seront bien évidemment affectés par les changements futurs. 

Le choix commun : une première dans le monde social à Genève

Ainsi, tous les emplacements exploités seront, par exemple, connectés à Internet par un seul fournisseur, et bénéficieront d’un système de téléphonie fixe unique. L’effet de volume a en effet pu être pleinement exploité au travers d’appels d’offre globaux. Et le choix de chacun des prestataires résulte de la mise en commun des critères de choix et, finalement, d’une décision consensuelle. Tout simplement du jamais vu. 

« Si l’objectif de mutualisation des moyens était clair, le chemin pour y parvenir l’était moins. Steel Blue nous a ouvert des perspectives en matière de technologies de l’information. Grâce à une approche structurée et un champ d’expertise large, les institutions ont pu mesurer les options qui s’offraient à elles, et prendre leurs décisions en connaissance de cause. »
Pierre-Yves Tapponnier, Directeur de FIDES 

Mais la mutualisation seule n’est pas l’unique objectif. Les participants au projet Tourbillon profitent également de ce changement et de l’effet de masse pour moderniser radicalement leurs infrastructures. L’expertise de Steel Blue dans le domaine du Cloud et de la dématérialisation a permis de présenter aux institutions, seuls décideurs, un panel de solutions le plus large possible. Et notamment de les guider vers des changements radicaux. 

Objectif : modernisation

Ainsi, des appels d’offre successifs ont été émis, notamment pour la téléphonie fixe ou les postes de travail. Le but ? Externaliser, virtualiser et dématérialiser les infrastructures IT. Et bénéficier d’une flexibilité bienvenue alors que les bailleurs de fonds se font plus rares et plus prudents. Centraux téléphoniques et bureaux virtuels ont ainsi d’ores et déjà été sélectionnés pour plusieurs centaines d’utilisateurs. 

Les chantiers restent encore nombreux, et les institutions auront à nouveau des choix importants à faire avant de prendre leurs quartiers à Plan-les-Ouates courant 2021. Au programme : impressions, applications métier et collaboration. Mais avec les bases déjà posées, les processus sont maintenant rodés, et le train est bel et bien en marche. Cette révolution-là ne s’arrêtera plus.

Emmanuel Dardaine

emmanuel dardaine expert cloud

Avec la généralisation du travail à distance, les PME se sont retrouvées avec des fichiers éparpillés sur des ordinateurs portables ou même des appareils personnels, mettant ainsi en danger la protection de ces données. Dans cette vidéo, je vais vous montrer comment la suite Microsoft 365 permet de garder le contrôle sur vos données tout en laissant les collaborateurs travailler à distance en tout sécurité.

Microsoft 365 se compose de licences Office 365, d’une mise à niveau vers Windows 10 Pro, et d’Enterprise Mobility Security (EMS), la gestion des appareils et de la sécurité dans le Cloud. En plus d’automatiser la configuration des appareils et l’installation des programmes, EMS fixe des règles de sécurité et de protection des données, isolant les applications d’entreprise et en limitant le transfert des données. Et ceci même sur les appareils personnels. Voyez comment en vidéo.

Et EMS peut encore bien plus ! N’hésitez pas à revenir vers nous par email par avoir une démonstration plus complète en live, même à distance. Confinement oblige.

Emmanuel Dardaine

emmanuel dardaine expert cloud

Assurer la transformation digitale de votre entreprise nécessite agilité et rapidité. Côté infrastructure informatique, le Cloud s’impose donc comme un allié naturel de la digitalisation. Reste à savoir lequel, car tous les Cloud ne se valent pas.

Si l’informatique à la demande séduit progressivement les PME suisses, le choix d’un Cloud n’a pourtant rien d’évident. Certes, tous sont sans engagement, en location mensuelle, et à géométrie variable. Alors lequel choisir ? En se focalisant sur 3 axes – coût, localisation, couverture fonctionnelle – il devient plus facile de choisir votre fournisseur d’informatique dans les nuages. Voire vos fournisseurs, car mixer peut s’avérer payant.

Vos données, où vous voulez

Question récurrente, la localisation des données peut être un critère clivant. Si peu de sociétés sont réellement contraintes à ce sujet, l’émotionnel entre souvent en ligne de compte. La diversité des fournisseurs permet heureusement de trouver son bonheur. Et de stocker vos données où bon vous semble, en Suisse comme ailleurs en Europe.

Sur le territoire helvétique, Swisscom ou Exoscale disposent de gammes de services convenant aux plus nombreux. Et l’arrivée imminente de Microsoft va encore améliorer l’offre. A quel prix ? Nul ne le sait encore. Mais cela boostera sans doute l’adoption du Cloud public en Suisse.

La course aux fonctionnalités

Côté fonctionnalités, les écarts peuvent être importants. Les leaders du Cloud que sont Amazon et Microsoft dépensent sans compter en R&D. Les acteurs locaux peinent à suivre la cadence. Un exemple ? Seul Amazon proposait jusqu’à maintenant un service de poste de travail virtuel. Microsoft vient juste de lancer le sien en version publique. Chez les autres, il faudra monter une infrastructure de toute pièce et acheter des licences.

Pour la majorité des PME, les besoins se limitent à stocker des backups ou héberger un serveur. Mais dès que des critères plus précis doivent être adressés – par exemple une externalisation complète – le champ des possibles se réduit. Le choix initial doit donc être pertinent, pour éviter de se retrouver bloqué par la suite, ou d’y laisser sa chemise.

Des coûts (très) variables

Car du point de vue des coûts, les différences peuvent être importantes. Si la concurrence est rude dans un marché en pleine consolidation, les écarts de prix sont parfois surprenants. Entre Amazon et Microsoft, les prix peuvent aller du simple au double pour le simple stockage de fichiers.

En Suisse, les coûts d’hébergement sont plus élevés. Ce qui a un impact sur le prix final. On constate toutefois que des acteurs comme Exoscale ou Infomaniak restent agressifs sur les services dédiés aux PME, mais sont limités sur les fonctions qu’ils proposent. Seuls les géants offrent, par exemple, le chiffrement complet des données, sans surcoût. Retour à la case « fonctionnalité » donc, la boucle est bouclée.

Le meilleur des Cloud pour votre digitalisation 

La stratégie gagnante consiste donc finalement à sélectionner un ensemble de Clouds plutôt qu’un unique fournisseur. Cette approche hybride s’appuie sur un principe simple : diviser pour mieux régner. Rien n’empêche de souscrire par exemple à la messagerie Office 365 et de faire tourner la suite de logiciels Microsoft sur un environnement de travail Amazon.

Et si vos serveurs se trouvent à Francfort, vous pouvez exiger que leurs sauvegardes soient réalisées en Suisse, afin de conserver une copie locale de vos fichiers. Ou faire l’inverse, et sauvegarder vos serveurs suisses à l’étranger pour des questions de coût ou de performance.

Dans un marché en constante évolution, comparer acteurs et services est donc un enjeu majeur. Tout comme s’assurer de la portabilité de vos environnements d’un Cloud à l’autre. Et surtout garantir l’absence d’engagement des services auxquels vous souscrivez. Tout engagement non sollicité doit vous paraître suspect, car il péjorera la flexibilité requise par votre digitalisation.

Emmanuel Dardaine

emmanuel dardaine expert cloud

Il y a un an, le débat sur le RGPD battait son plein. Ce nouveau règlement européen invitait les responsables d’entreprise à se questionner sur la gestion et la sécurisation de leurs données. La révision de la LPD, annoncée pour fin 2019, obligera les entreprises suisses à revoir définitivement leur fonctionnement. Il est donc temps d’agir.

Notre outil Steel Workgroup permet à la fois de stocker et de partager vos fichiers en toute sécurité dans le Cloud mais aussi de les échanger via des liens sécurisés. Ses fonctionnalités avancées et son haut niveau de sécurité vous permettent simplement et rapidement de vous mettre en conformité avec les lois existantes ou à venir.

Alors, si vous continuez à partager des fichiers par e-mail, ou si vous n’avez pas de visibilité sur les modifications faites sur vos fichiers, découvrez comment vous mettre facilement en règle avec notre outil collaboratif !

Vous avez encore des questions ? Pas de soucis, contactez-nous pour une démonstration personnalisée. Nous nous ferons un plaisir de répondre à vos questions et nous vous proposerons de tester gratuitement Steel Workgroup pendant 1 mois.

 

 

Nombreux sont les secteurs d’activité qui rentrent dans une phase de consolidation. Ces bouleversements demandent une attention toute particulière aux dirigeants d’entreprise pour faire les bons choix. La gestion de fortune n’échappe pas à la règle. L’utilisation du numérique et des technologies de pointe comme le Cloud public permettent de prendre un véritable avantage concurrentiel. Découvrez comment dans un exemple en vidéo.

Alain Depuydt, CEO de Vierny Partners – une société de gestion de fortune genevoise, nous éclaire sur l’importance d’avoir entrepris une transformation digitale dans leur société. Il revient également sur l’intérêt pour les petites structures de s’appuyer sur un prestataire spécialisé dans les services Cloud pour bénéficier à la fois d’une solution compétitive, en accord avec ses besoins, et cela sans faire de compromis sur la flexibilité. Découvrez ses explications dans cette interview.

Besoin d’un guide pour entreprendre votre digitalisation vers le Cloud ? Envie de moderniser votre informatique pour gagner en sérénité et en compétitivité ? Prenez contact avec nous en saisissant simplement votre adresse e-mail et en cliquant sur « Demander à être contacté ».

Dans certains domaines d’activité, la mobilité est plus qu’un enjeu et devient une obligation. C’est le cas pour DTA formation, une jeune société spécialisée dans la formation aux premiers secours  pour les particuliers, les entreprises et les professionnels de la santé.

En septembre dernier, M. Dulliand, directeur de DTA formation nous expliquait que les formateurs de DTA se déplacent directement au sein des entreprises pour dispenser leur cours. Cette mobilité est appréciée surtout en entreprise car le personnel n’a plus besoin de se déplacer à l’extérieur, un vrai gain de temps !
Mais pour M. Dulliand, offrir cette souplesse a demandé quelques adaptations dans l’organisation, dans les méthodes de travail et à la gestion des documents internes comme il nous l’explique :

« Notre société repose sur une équipe de 20 formateurs qui est très souvent en déplacement sur le terrain. Nos formateurs doivent pouvoir accéder aux différents supports de formation sans contraintes et depuis n’importe où. Dans notre activité, il est très important de faire un suivi des documents et de leur mise à jour régulièrement. Dans le domaine médical, les choses évoluent vite et l’on doit être sûr d’avoir les bonnes informations. Un simple serveur de fichier n’aurait pas convenu à nos besoins. »

M. Dulliand, déjà en contact avec Steel Blue pour un service de sauvegarde Cloud, nous a tout simplement contacté pour trouver une solution à ses besoins de stockage, de partage de document et de mobilité.

Nous avons très rapidement orienté DTA formation vers notre service Steel Workgroup, un outil collaboratif simple et performant. Suite à une présentation complète de l’outil dans les bureaux de M. Dulliand, ce dernier nous a tout de suite fait part de son intérêt.

« Nous avons très vite pu nous rendre compte de l’intérêt de la solution et des fonctions avancées qu’il présentait. L’accès au fichier via un simple navigateur web correspondait à nos attentes. Cependant, avant de faire le pas je souhaite pouvoir utiliser l’outil et me familiariser avec son fonctionnement. Il était important pour nous d’être sûr que la solution répondrait à nos besoins présents et puisse nous accompagner tout au long de notre développement. Avec 1TB d’espace de stockage par utilisateur et les nombreuses fonctionnalités, nous sommes tranquilles. »

Tout naturellement, nous avons proposé à M. Dulliand de créer un compte de test pour ses collaborateurs et cela gratuitement. Après un peu moins de 2 semaines, nous avons créé la plateforme collaborative de production et planifier à notre tour une formation pour toute l’équipe de DTA.

« Nous n’avons pas eu besoin de tester le service très longtemps. Ça prise en mains est très rapide. L’outil permet vraiment de facilement synchroniser des fichiers et de les partager en allouant des droits en lecture, ou en écriture. Le partage de fichier se faisant à l’aide de liens sécurisés nous voyons aussi à terme la possibilité de mettre à disposition des participants aux formations un accès aux supports en version électronique. Le fait de pouvoir restreindre le téléchargement ou l’impression du document et un véritable plus pour protéger nos fichiers et notre travail. »

Alors si comme DTA formation, vous souhaitez voir à quoi ressemble notre outil collaboratif, 2 solutions :

Faire

une formation premier secours auprès de DTA c’est ici. Vous verrez l’utilisation de l’outil en grandeur nature. Et si vous tombez à la renverse, ils seront là pour vous réanimer. Ou plus simplement vous pouvez nous contacter pour une présentation dans vos bureaux ou en ligne. Vous pourrez aussi comme DTA Formation tester gratuitement notre service, sans engagement.

Comment nous contactez ? C’est simple cliquez sur le bouton « Tester Steel Workgroup » et nous reviendrons vers vous très rapidement pour une présentation et un test.

 

 

Vous n’avez pas pu vous rendre au rassemblement annuel d’Amazon Web Services sur Genève ? Vous nous avez manqué, et vous avez manqué aussi à cet événement exceptionnel. Mais vous avez droit à une séance de rattrapage.

Salle comble le mardi 12 juin 2018 pour l’événement annuel d’AWS (Amazon Web Services) sur Genève, dans les locaux de la Fédération des Entreprises Romandes. Ce sont environ 180 participants qui sont venus assister aux différentes sessions de formation et d’information sur les produits Cloud du leader mondial en la matière. Steel Blue y était présent en tant que sponsor, et en tant que conférencier via son directeur Emmanuel Dardaine. Vous n’y étiez pas ? Pas grave, voici cet événement résumé en quelques lignes.

Variété et qualité

Deux groupes de conférences étaient organisés au cours de cette journée unique:

– Main Track, qui se focalisait sur les B-A-BA des services Amazon
– Special Track, qui mettait en avant les produits et pratiques émergents sur le Cloud AWS

Pour plus de détails, retrouvez sur ce lien le programme complet de l’AWS AWSome Day Genève 2018.

C’est dans cette seconde session que Steel Blue a pu mettre en avant quelques cas clients, qui ont permis :

– de montrer comment économiser 36% sur sa facture d’infrastructure mensuelle en maîtrisant les modèles de coûts AWS
– d’expliquer comment AWS permet l’adaptation permanente des l’infrastructure à l’usage des clients
– de démontrer la pertinence des solutions de bureau virtuel, pour les entreprises de toutes tailles

Grâce cette intervention, Steel Blue a pu affirmer son positionnement d’expert Cloud dédié aux TPE et PME de la région romande. Nous en avons même profité pour organiser un vote en ligne en direct, et distribuer quelques cadeaux par tirages au sort parmi les votants.

Steel Blue : expert Cloud sur Genève

Parmi les autres partenaires ayant animé cette journée, se trouvaient :

Amanox, un prestataire alémanique spécialisé dans le conseil et l’exploitation de solutions Cloud pour entreprises
SmartWave : une société de conseil et d’ingénierie romande
– des ingénieurs et consultants Amazon internes

L’intérêt marqué par l’assistance sur le poste de travail virtuel a notamment mis en évidence le développement de ce marché en Suisse francophone, et ce dans tous les secteurs. Amazon Workspaces, la solution de VDI (Virtual Desktop Infrastructure) proposée par AWS, apparaît désormais comme un challenger abouti et sérieux aux solutions institutionnelles que sont VMWare Horizon ou Citrix, avec des coûts d’investissement sans commune mesure.

N’hésitez pas à retrouver les quelques pages de notre présentation sur ce lien.

Et si vous n’étiez pas là, rien ne vous empêche de nous contacter pour développer ces quelques sujets à la demande. Il suffit de rentrer votre adresse email ci-dessous. En espérant tout de même vous voir sur place l’an prochain !


Si virtualiser ses fonds est devenu la norme pour les petites entreprises, en faire autant avec son informatique reste une pratique minoritaire. Car même si les patrons romands sont conscients du risque, ils pêchent parfois par défaut d’information. Pour répondre à deux questions simples : pourquoi et comment. Eléments de réponse.

Quel entrepreneur conserverait se trésorerie au fond d’un coffre dans ses locaux ? A de rares exceptions, aucun. Avec la numérisation de l’économie, les données informatiques sont devenues un bien inestimable des PME. Et pourtant, elle restent enfore confinées dans des serveurs, hébergés dans les locaux de l’entreprise. Vous savez, dans la petite salle du fond. Probablement à la place de l’ancien coffre fort. Alors que confier son argent – virtuel – à une banque est un réflexe naturel, il reste encore du chemin à faire côté informatique. Les bonnes raisons de reculer ne manquent pas. Heureusement, les solutions non plus.

Et si vous arrêtiez de jouer avec le feu ?

Au pays de l’industrie bancaire, certaines habitudes sont en effet tenaces. Alors que nos flux de trésorerie sont entièrement dématérialisés, l’informatique a parfois pris du retard. Beaucoup de retard. La majorité des visites chetz les clients amènent au même constat : un petit disque dur USB planté sur un serveur de fichiers. Histoire d’avoir une copie. La couche de poussière sur ce disque indique qu’il n’est que rarement sorti à l’extérieur des locaux. Preuve que les données informatiques sont en danger. Vous vous reconnaissez ?

8’000.- CHF : c’est le coût moyen d’une perte de données pour une PME

Au delà du simple vol, risque comparable à celui que vous courriez avec votre coffre, vos données ne sont pas non plus à l’abri d’un incendie, d’un dégât des eaux, ou tout simplement d’une défaillance du matériel. Adieu alors les années d’archive. Et bonjour les pertes d’exploitation, aux coûts exorbitants. Comme 5% des PME qui subissent une perte de données chaque année, vous vous exposez à coût moyen de 8’000.-.

La peur de l’inconnu

On le comprend rapidement, externaliser dans le Cloud ses serveurs et les données informatiques qui vont avec relève donc a priori du bon sens. Alors pourquoi n’est-ce pas plus souvent le cas dans le TPE et petites PME ? Par crainte, parfois. Souvent, en fait. Ne pas faire confiance à une banque, surtout dans nos contrées, serait une ineptie. Mais faire confiance à un hébergeur, c’est une autre histoire. Particulièrement s’il se trouve en dehors des frontières helvètes. Heureusement, quelques compagnies avec pignon sur rue ont relevé le défi en Suisse romande. Exoscale par exemple, ou encore le géant Swisscom. Chacun dans leur domaine, ils fixent de nouveaux standards et font des pieds et de mains pour rassurer les petits clients.

En 2015, Microsoft a accepté de fournir à la justice les données pour 0.00003% des demandes reçues

Hors du territoire suisse, les géants internationaux font aussi de gros efforts pour attirer la clientèle locale. Disponibilité quasi continue, risque de perte infinitésimal: Microsoft ou Amazon Web Services soignent leurs niveaux de service. Et garantissent une protection hors pair de vos précieux fichiers. Reste le risque légal : si les prestataires suisses gardent un avantage, la révision prochaine de la Loi sur la Protection des Données va amoindrir cet atout. Et les leaders du secteur sont de moins en moins enclins à livrer vos données en pâture à la NSA : en 2015, sur plus de 70’000 demandes d’extraction de données, Microsoft est entré en matière pour 7 cas concernant des entreprises en Europe. Et n’a livré les données que pour 2. Soit environ 0.00003%…

Un spécialiste sinon rien

Bref, vous avez le choix. Mais en tout cas, la protection des données en dehors des vos locaux n’est objectivement plus une source de questionnement. Ceci étant dit, le simple fait de se décider à externaliser ses données n’est pas suffisant. La mise en place au niveau d’une entreprise demande de l’organisation et de la cohérence. Afin de garantir la sécurité des données informatiques, et en conserver le contrôle. En effet, les fuites proviennent le plus souvent de l’utilisation sauvage et désordonnée d’outils grand public. iTunes, Dropbox ou WeTransfer sont parfait pour synchroniser quelques photos. Mais probablement par votre dernier contrat client ou votre grille tarifaire.

Ce manque d’accompagnement constitue le second frein à l’externalisation des données informatiques dans les PME. Il convient donc de mettre tout cela en musique. Avec des outils dédiés aux professionnels, et intégrés à votre environnement et vos processus de fonctionnement. Les PME font alors face à un autre défi : celui du conseil. Du conseil avisé, devrait-on dire. Car l’externalisation des données et des serveurs dans le Cloud devient une affaire de spécialiste. Et les petites entreprises, face au flou que peut leur inspirer le Cloud, sont plus que jamais en attente de recommandations. Adopter à ce moment une vision à 360°, sur vos besoins comme sur votre métier, permet d’adopter une réelle stratégie Cloud, cohérente et pérenne dans le temps.

Encore faut-il tomber sur le bon prestataire de service, direz-vous. A la lecture de ces quelques lignes, vous aurez compris que Steel Blue peut vous accompagner sur le chemin de l’externalisation dans le Cloud. Adossé aux fournisseurs de référence dans le Cloud, nous vous aidons à faire s’évanouir vos craintes. Spécialisé dans le secteur des petites PME, fort de références remarquables en Romandie (Genève, Lausanne, …) ou ailleurs, Steel Blue est le partenaire de choix pour vous aider à transiter vers le Cloud. Demandez-nous de passer vous voir, nous nous ferons un plaisir de vous présenter nos solutions, quel que soit votre secteur d’activité. Et vous aider à enfin protéger vos données comme elles le méritent.

Steel Blue : all inclusive, all right !