Dans une étude récente, Microsoft mettait en avant l’intérêt des petites et moyennes entreprises pour le Cloud hybride. Si le sujet de l’étude n’est pas anodin pour une compagnie à cheval entre l’informatique Cloud et l’informatique classique, l’hybride constitue en effet une évolution naturelle vers le Cloud public. Notamment parce qu’elle permet une transition en douceur, et limite les risques tout en accompagnant la progression vers les technologies Cloud. Voici pourquoi.

Dans cette étude, Microsoft indique que 67% des entreprises interrogées utilisent déjà un Cloud hybride ou envisagent son utilisation future. Si nous vous avions déjà présenté les différentes formes de serveur Cloud dans un article précédent (n’hésitez pas à profiter de cette petite séance de rattrapage sur les différents types de serveurs Cloud), nous vous proposons ici de creuser un peu plus cette variante, et de comprendre pourquoi elle intéresse 2 entreprises sur 3.

Cloud public vs. Cloud privé

Commençons pas le commencement : qu’est-ce que le Cloud hybride ? Simplement, il s’agit d’une combinaison de Cloud public et de Cloud privé. Je vous vois arriver avec la prochaine question… Alors pour ceux qui n’ont pas eu le courage de passer par le rappel des fondamentaux ci-dessus, voici ce qui différencie ces deux modes. Le Cloud privé est l’ensemble des infrastructures informatiques Cloud d’une entreprise, situées sur son réseau privé, qu’elle possède et qui sont gérées par elle. Typiquement, il s’agit d’un ensemble de serveurs et d’un espace de stockage achetés par le client et placés dans son datacenter.

Le Cloud public est lui constitué de ressources mutualisées ou dédiées, louées par un opérateur Cloud, qui ne se trouvent pas sur le réseau propre du client mais dont l’accès se fait par Internet. La gestion de ces ressources (matériel, exploitation) est assurée par l’opérateur, qui les met à disposition du client. L’entreprise cliente n’étant pas propriétaire du matériel et des infrastructures, elle souscrit un abonnement, qu’elle peut résilier ou modifier à tout moment, afin d’adapter en permanence les ressources à disposition et les coûts afférents (ce qui n’est évidemment pas possible avec du matériel acheté, qui est dimensionné une fois pour toutes).

Comme dans le monde automobile, le passage à l’hybride est un choix raisonnable.

Le Cloud hybride consiste donc à utiliser une infrastructure informatique qui se repose en partie sur son propre matériel dans son propre réseau, et en partie sur des ressources à la demande sur un réseau externe accessible via le Net. Le choix de la répartition des ressources incombe au client final, ou à son gestionnaire informatique. Les critères de choix sont nombreux et variables : criticité des applications, redondance, centralisation et accès mobiles aux données, rationalisation.

Pourquoi passer à l’hybride ?

Comme dans le monde automobile, le passage à l’hybride est un choix raisonnable. Toutes les entreprises ne sont pas prêtes à passer au 100% Cloud public – tout comme tout le monde ne peut pas basculer sur des véhicules 100% électriques, par crainte du changement dans ses habitudes. Et pourtant, tout le monde sait qu’il s’agit d’une étape intermédiaire, qui permet encore pour quelques temps de bénéficier du meilleur des deux mondes. Pour reprendre l’analogie automobile, les batteries évoluent tellement vite que la solution hybride, idéale aujourd’hui, fera moins de sens dans 5 années.

Parier sur le Cloud hybride garantit donc de monter progressivement en compétences, ou tout au moins de prendre goût au Cloud à moindre risque, en basculant progressivement ses données et ses programmes. Cette approche prudente séduit donc deux tiers des entreprises, qui entament leur voyage hybride en fonction de leurs besoins et de leurs projets.

Pour réussir la transition vers le Cloud hybride, vous devez respecter quelques fondamentaux. A commencer par la sécurité.

Imaginons que vous deviez déployer un nouvel applicatif et que votre Cloud privé arrive gentiment à saturation. Le meilleur moyen d’éviter un investissement lourd consistera à déployer ce programme dans un Cloud public, tout en l’intégrant à votre réseau. Idem pour votre plan de reprise d’activité : il requiert de nouvelles ressources coûteuses, que vous ne pouvez pas vous permettre. Et pourtant vous avez prévu d’augmenter la redondance de votre infrastructure : le Cloud hybride vous permet cette évolution à moindre coût. Dernier exemple : le serveur de votre CRM ou de votre ERP arrive à saturation, mais vous ne comptez pas les mettre à niveau. Externaliser cette brique dans un Cloud public constituera une solution rapide et élégante.

La mise en place d’un Cloud hybride

Mais pour cela, vous devez respecter quelques fondamentaux. A commencer par la sécurité et la protection des données. « Public » ne signifie pas forcément « ouvert à tous les vents », même si l’accès à vos nouveaux serveurs passe par Internet et non plus un réseau privé. Si l’infrastructure est hébergée chez un fournisseur Cloud, vous devez la protéger des accès extérieurs, en restreignant son accès à votre réseau d’entreprise. Par un basique filtrage d’adresse IP, ou plus sûrement par la mise en place d’un VPN – une sorte de canal privé – entre vous et votre Cloud public. Cette dernière solution, en plus d’être élégante, permet de privatiser votre Cloud public, et de créer ce qu’on appelle un Cloud privé virtuel (VPC, Virtual Private Cloud).

Une fois cette extension de votre réseau en place, le champ des possibles est complètement ouvert. Et le passage à l’hybride peut être soit opportuniste, soit faire l’objet d’un plan très structuré. Si des machines arrivent en fin de vie ou même tombent en panne, vous pouvez décider de les remettre en ligne dans votre Cloud public. Mais vous pouvez tout aussi bien choisir de déplacer progressivement et systématiquement vos serveurs une fois leur amortissement terminé. Un des fondamentaux sera ici de vérifier les volumes de données qui devront transiter vers et depuis le Cloud public une fois vos serveurs déplacés. Même si les connexions à très haute vitesse se généralisent, accéder en ligne à des fichiers de plusieurs GB par exemple n’est pas une bonne idée.

cloud hybride

La criticité des applications peut aussi servir de critère de choix pour leur migration dans la partie publique de votre Cloud hybride. Si, initialement, le Cloud public était réservé aux applications non-critiques, la tendance s’inverse depuis plusieurs années. Les niveaux de service et de fiabilité des Cloud publics dépassent maintenant allègrement ce que la plupart des entreprises peuvent s’offrir sur leur Cloud privé. De fait, là ou le Cloud public était encore une solution d’appoint, il devient le premier choix de toute nouvelle infrastructure informatique d’une PME. Avec par exemple des taux de disponibilité des données à 99.99% ou des serveurs à 99.95%. On parle alors d’approche « Cloud first ».

Evidemment, vous allez me demander : quel intérêt pour nous, petite entreprise à Genève ou Lausanne et de quelques collaborateurs ? La réponse est simple : le même que pour les très grandes entreprises. Le Cloud public, comme nous l’avions présenté dans un article précédent, est tout aussi accessible aux multinationales qu’aux TPE. Certains de nos clients ne comptent que quelques utilisateurs, mais ont pourtant fait le choix de l’hybride sans mettre à plat leur trésorerie. L’absence d’investissement dans le Cloud public permet de limiter les coûts initiaux et de ne pas restreindre son usage aux grands groupes dans le cadre d’un déploiement hybride.

Vous l’aurez compris, l’installation d’un Cloud hybride est une façon de limiter les risques, de passer progressivement au Cloud tout en limitant pannes et investissements. Si ce profil vous correspond, il est temps que nous nous rencontrions. Nous avons plusieurs cas de clients qui ont fait de l’hybridation de leur infrastructure une réussite, et qui pourront aussi témoigner auprès de vous de leur migration. Alors n’hésitez pas à prendre contact avec nous au travers du formulaire ci-dessous. Et lancez-vous dès maintenant. Ah, une dernière chose : même si l’analogie était belle, nous ne pouvons rien faire pour l’hybridation de votre parc automobile. Désolé.

Emmanuel Dardaine - Expert Cloud

Emmanuel Dardaine


La Confédération, Novartis, Holcim, Netflix : la liste des grands noms qui franchissent le pas de l’informatique dans le Cloud public s’allonge chaque jour. Récemment, Merck annonçait son partenariat avec Amazon Web Services, le leader mondial du Cloud. Si les multinationales y trouvent leur compte, qu’en est-il des PME ? Peuvent-elles bénéficier des mêmes prestations, mais à leur échelle ? Voici quelques pistes pour vous aider à répondre à ces questions.

Les avantages du Cloud public, aussi pour les PME

L’un des attraits majeurs du Cloud public, c’est qu’il n’y a pas de minimum imposé pour commencer à l’exploiter. Les volumes de stockage pour les sauvegardes commencent par exemple à 100GB chez Steel Blue. Les plus petits serveurs Cloud possèdent 1 processeur et 1GB de RAM, et quelques GB de disque dur. Pour les postes de travail, les outils collaboratifs ou la messagerie, c’est encore plus simple : ils sont facturés à l’unité sans minimum requis.

Contrairement aux infrastructures physiques, le ticket d’entrée est donc bien moindre. Avec un impact positif évident sur la trésorerie des petites entreprises, souvent tendue. Autre avantage financier : le Cloud public vous fait passer dans le monde de la location informatique. Exactement comme vous le faites pour vos bureaux ou vos voitures d’entreprises, depuis des années. Fini les gros investissements à devoir caser dans le budget.

Avec une économie potentielle de 20% à 25% au bout de 3 ans, les oreilles des patrons de PME commencent à devenir attentives.

Enfin, bien plus qu’ailleurs, les PME ont besoin de flexibilité. Si un serveur ou une baie de stockage sont mal dimensionnés, il est difficile de réinvestir avant la fin de la période d’amortissement. Les solutions Cloud sont évolutives et sans engagement. Un redémarrage de la machine suffira à changer ses ressources à la hausse comme à la baisse. Et la facture s’adaptera automatiquement à la fin du mois.

PME et TPE : comment vous y prendre pour franchir la porte du Cloud public ?

On le voit, les bénéfices que les TPE et PME peuvent tirer du Cloud sont nombreux et pertinents. Et pourtant, dans l’esprit de leurs dirigeants, les réticences sont tenaces. Parmi les arguments généralement rencontrés, son adéquation aux très grandes structures et la nécessité de disposer de temps et de compétences particulières. Et évidemment le manque de sécurité.

En réalité, en tant qu’expert Cloud public, nous commençons par déconstruire auprès des clients les mythes qu’ils se sont forgés à propos de leur informatique dans les nuages. En commençant par celui du risque lié à la sécurité des données dans le Cloud. Puis dans un second temps, celui du prix.

Sur ce dernier point, nous effectuons des comparatifs de coûts entre une infrastructure physique (serveur Cloud, poste de travail virtuel, sauvegarde) et les solutions de Cloud public présentes sur le marché. Dans la grande majorité des cas, la balance penche toujours en faveur du Cloud, et ceci même pour les très petites structures. Avec une économie potentielle de 20% à 25% au bout de 3 ans, les oreilles des patrons de PME commencent à devenir attentives.

Mais ce n’est pas tout. Bien souvent la fiabilité et les services supplémentaires disponibles, propres au Cloud, marquent encore plus la différence. Par exemple si les postes de travail virtuels permettent une économie de 15% sur 3 ans, ils sont livrés avec de nombreux services à valeur ajoutée, intégrés gratuitement. Sauvegarde quotidienne, outil de travail collaboratif, mobilité : autant d’atouts naturels, dont bénéficient les PME.

Reste la question des compétences. Le Cloud demeure complexe, et les PME ne peuvent se permettre objectivement d’acquérir la connaissance pour l’exploiter. Mais dans un contexte où ces entreprises font généralement appel à des prestataires externes pour gérer leur informatique, leur modèle d’exploitation ne change pas. Le choix du bon partenaire pour l’externalisation devient en revanche crucial, car tous ne se valent pas, et peu sont experts en Cloud public. Que ce soit pour leur exploitation au quotidien, ou la migration des services.

L’envol vers les nuages

Car une fois la décision prise, la qualité du plan de marche doit être à la hauteur de la qualité des services Cloud. Chez Steel Blue, nous accompagnons nos clients et créons pour eux un plan de migration en accord avec leurs projets et la période d’amortissement de leur matériel. Autrement dit, nous les faisons transiter progressivement, étape par étape, vers le Cloud. Et comme avec bon petit plat, plus on y goûte, et plus on y prend goût.

La migration suit vos besoins ou vos contraintes, et peut être faite en quelques semaines ou quelques mois.

Cela commence typiquement par la connexion au Cloud public, avec une liaison sécurisée vers un espace d’hébergement privatif et clos. Viennent ensuite les sauvegardes de vos serveurs ou de vos données dans le Cloud. Vous êtes ainsi protégés. Une fois les données dans le Cloud, la migration de vos applications sur des serveurs Cloud est extrêmement rapide.

Pour les postes de travail, nous conseillons d’installer le bureau virtuel sur les ordinateurs déjà présents dans votre entreprise. La virtualisation leur offre une deuxième jeunesse et permet d’allonger un peu plus leur amortissement sans risque de perte de fichier ou de temps. Tout est déporté dans le Cloud, votre vieil ordinateur ne fait plus que de l’affichage. Là encore, la transition en douceur prime avant tout.

Finalement, la migration suit vos besoins ou vos contraintes, et peut être faite en quelques semaines ou quelques mois. Mais dans certains cas, le client ne souhaite pas attendre. Par exemple, il nous est arrivé le mois dernier de migrer l’entier de l’informatique d’un spécialiste de la gestion de fortune sur Genève en moins d’un mois, montre en main . Alors si vous aussi vous souhaitez goûter à nos bonnes recettes, n’hésitez pas à vous enregistrer grâce au formulaire ci-dessous, et Steel Blue s’occupera du reste.


Lors de ce Webinar, nous vous proposons de découvrir un outil collaboratif Cloud qui changera votre façon de travailler avec vos fichiers.

SIMPLE, PERFORMANT ET CONFORME

Vous souhaitez échanger facilement des gros fichiers avec vos clients ou fournisseurs ? Vous travaillez avec des données sensibles et vous souhaitez une solution en accord avec la protection des données (RGPD) ? Vous travaillez régulièrement à plusieurs sur des documents ? Nous avons de quoi vous aider.

Steel Workgroup s’appuie sur le Cloud d’Amazon Web Services, le leader mondial du Cloud. Une ergonomie simple, une envergure fonctionnelle large et une sécurité accrue en font l’outil collaboratif Cloud idéal.

APPORTEZ DE LA MOBILITÉ ET DE L’EFFICACITÉ À VOTRE TRAVAIL

Partagez, commentez, stockez, classez, sauvegardez vos documents avec Steel Workgroup. Vos fichiers vous suivent où que vous alliez tout en restant dans un espace hautement sécurisé. Mettez-vous en conformité, et gagnez en mobilité et en productivité.

Avec Steel Workgroup, vous disposez d’un outil collaboratif Cloud efficace et sûr :

  • Stockez vos fichiers dans le Cloud, et synchronisez-les sur tous vos appareils
  • Partagez vos fichiers entre vos collaborateurs, comme vous le feriez avec un serveur de fichiers
  • Obtenez des commentaires en ligne sur vos documents, lors de revues internes ou externes
  • Protégez vos données sans sauvegarde grâce à la réplication automatique du Cloud AWS
  • Définissez les permissions de partage pour garantir l’accès juste suffisant aux données
  • Cryptez vos données, que ce soit au repos dans les centres de données AWS, ou en transit

Avec Steel Workgroup, vous entrez dans une nouvelle ère de modernité pour l’exploitation au quotidien de vos fichiers.

PROGRAMME

Date : le 8 novembre à 11h00
Durée : 45 minutes
Accès : Skype Business (un navigateur web et casque audio requis)
1. Steel Workgroup en bref – 5 min
2. Etudes de cas & démonstrations – 25 min
3. Console d’administration – 10 min
4. Offre commerciale – 5min
5. Questions

N’hésitez plus, inscrivez-vous ! Nous nous réjouissons de votre participation à notre Webinar.

L’informatique, vous trouvez ça rébarbatif. Alors la documentation informatique… Pourtant, lors du dernier renouvellement de votre contrat, vous vous êtes demandé à quoi ressemblait votre parc. Et si un document le décrivait. Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas tout seul. Voici comment nous adressons ce point crucial.

Les informaticiens ne sont pas réputés pour être de grands rédacteurs. Cependant, décrire le réseau des clients est une pierre angulaire de la fourniture de services IT. Que ce soit pour rassurer le client sur la capacité à conserver une vision globale (et juste) de son infrastructure. Ou pour assurer la transfert de connaissance en interne, et finalement le niveau de service. Ou bien encore lors d’un changement de prestataire, de l’intégration d’un nouveau fournisseur ou d’une nouvelle application.

La documentation informatique, cette grande absente

Dans bien des cas, cette documentation est tout simplement absente. A peine doit-on se contenter d’un vague schéma, hors d’âge et incomplet. C’est déjà mieux que rien pensez-vous ? L’informatique est organisée en strates, et un seul schéma ne peut pas toutes les représenter, ni même consolider les informations d’une seule strate. Si vous ête dans ce cas, il y a de fortes chances que votre fournisseur de service ne se repose que sur les personnes plutôt que sur son organisation (et la documentation qui en découle).

La corollaire, c’est que vous dépendez probablement d’un unique interlocuteur. Ce qui est un avantage d’un point de vue du client : connaissance et suivi de l’environnement, relation établie avec le technicien, confort et gain de temps lors des interventions. Oui mais voilà, les choses ne ressemblent pas toujours à un long fleuve tranquille. En cas d’absence ou de départ du technicien, il faudra transmettre la connaissance. Sans documentation, il y a fort à parier que le remplaçant apprendra votre infrastructure sur le tas. Avec les risques et la perte de temps que cela peut induire.

Envie de voir à quoi ça ressemble ? Aucun souci, nos documents anonymisés vous permettront de vous faire une idée.

Quand bien même la documentation informatique existe, à plus ou moins grande échelle, elle est parfois négligée une fois les choses en place. Et sa mise-à-jour passe à la trappe, malgré les modifications apportées au fil du temps. Ce qui peut conduire à de réelles catastrophes : un paramètre mal documenté peut induire en erreur et générer des incidents. Bref, une documentation incorrecte ou incomplète est finalement aussi dangereuse que pas de documentation du tout. Et une stratégie de mise-à-jour systématique devient une composante incontournable de votre sécurité informatique.

Enfin, la documentation ne s’arrête pas là. Elle concerne aussi l’exploitation au quotidien de votre informatique. En tout premier lieu, cela concerne les « tickets » qui sont produits à chaque demande d’intervention ou chaque alarme remontée par votre infrastructure. Ou encore les résumés d’exploitation qui synthétisent les actions menées pour maintenir votre IT en bon état, et assurer son bon fonctionnement.

La documentation « made by Steel Blue »

Chez Steel Blue, nous fournissons nos prestations sous la forme de forfaits mensuels sans engagement tout inclus. Pourquoi ? Parce qu’en tant que société informatique à Genève et Lausanne, dédiée aux petites entreprises, nous savons à quel point cette documentation est à la fois rassurante pour nos clients PME, et garante du bon fonctionnement de leur infrastructure. La documentation informatique n’est donc pas une option, mais une obligation. Nos abonnements « all-inclusive » incluent en particulier les modifications de configuration que vous demandez (ou que nous préconisons), et le maintien de la documentation.

Nos prestations incluent aussi un rapport d’exploitation mensuel, sans surcoût. Toutes les actions menées sur vos serveurs, votre réseau et vos postes y sont consignées. Vous avec donc une visibilité permanente sur les mises-à-jour effectuées, sur les incidents traités, ou sur les alarmes qui ont été générées par votre réseau. Nous y listons évidemment les fameux tickets d’exploitation, pour que vous sachiez qui fait appel au support, et pour quoi.

 

Documentation informatique

 

A ceux qui le demandent, nous fournissons d’ailleurs le contenu et l’horodatage des tickets. Nous n’avons rien à cacher, et nous travaillons en toute transparence. La même transparence que celle dont nous faisons preuve en produisant et maintenant la documentation de tous nos clients. la boucle est bouclée.

Ah!, il y a tout de même une information que nous ne documentons jamais. Pas publiquement en tout cas. Une idée ? Les mots de passe bien sûr. S’il y a bien un élément de documentation sensible, c’est celui-là. Nos documents ne contiennent donc jamais le moindre mot de passe. Nous les conservons dans une base sécurisée et privée, mais jamais sous forme textuelle dans un document. Et nous les transmettons toujours de manière sécurisée : par oral, via SMS, ou dans un email vide. Libre alors aux clients d’utiliser leur propre base pour les protéger à leur tour.

Envie de voir à quoi ça ressemble ?

Evidemment, toutes ces belles promesses vous mettent en appétit. Et vous aimeriez bien voir ou toucher. Concrètement. Comme nous venons de parler de documents, il serait facile de joindre les actes à la parole, non ? Oui, bien sûr ! Nous avons des documents anonymisés que nous pouvons diffuser à ceux qui nous le demandent. Pour cela rien de plus simple. Inscrivez-vous avec le formulaire ci-dessous, et vous recevrez en moins de 24 heures un exemple de documentation informatique complet, un rapport d’exploitation et une documentation utilisateur. Vous aurez alors tout loisir de vous faire votre opinion. Et de comparer avec ce que vous avez… ou pas.


Au début de l’été (juin 2018) Microsoft a annoncé une revue de sa politique de prix avec une prise d’effet au 1er août 2018. Découvrez si votre budget informatique est impacté et dans quelle mesure ?

Qui est touché ?

Cette augmentation concerne les services proposés en Suisse et en Suède. Microsoft justifie cette augmentation par un réalignement de ses tarifs pour une cohérence de prix avec les pays voisins de la zone Euro (basé sur l’évolution du taux de changes, des devises et de l’inflation).

L’augmentation annoncée va impacter la majeure partie des clients Microsoft car les produits concernés sont les services Office 365 (location des licences bureautiques et messagerie Cloud) et les services Microsoft Azure (serveurs et plateforme Cloud). Les coûts des services se verront respectivement réévalués de +5% et +9%.

Pas d’augmentation pour nos clients !

Chez Steel Blue nous exploitons pour nos clients des services Cloud choisis chez les leaders du marché (Amazon Web Services, Microsoft Azure et Office 365, Swisscom et Exoscale). Notre vocation n’est pas la simple revente de service mais bel et bien d’opérer l’informatique de nos clients. De la manière la plus objective, nous les conseillons dans le choix de la solution Cloud la plus en accord avec leurs besoins.

À la suite de l’annonce de Microsoft, nous avons pris la décision de ne pas appliquer ces augmentations et de respecter les prix indiqués sur les contrats initiaux pour ne pas prendre nos clients au dépourvu. Cependant toutes les nouvelles commandes de service Microsoft se feront au tarif public en vigueur.

Quelles sont les alternatives à Microsoft Azure et Office 365 ?

Comme bien souvent lors de hausses de tarif importantes, la première question qui se pose est : avons-nous le choix ?

Nous avons pris la décision de ne pas appliquer ces augmentations et de respecter les prix indiqués sur les contrats initiaux…

Pour Office 365, il n’existe pas vraiment de véritable alternative à la suite bureautique Microsoft. Bien que certaines solutions Open Source aient pu bénéficier de succès d’estime, elles n’ont pas le même rayonnement que la panoplie Microsoft.

Toutefois, concernant les services Cloud (serveurs, messagerie, stockage et partage de fichiers, outils collaboratifs), d’autres voies existent bel et bien. Amazon Web Services, Swisscom ou Exoscale offrent des choix plus ou moins onéreux avec une couverture fonctionnelle plus ou moins étendue.

A cet égard, nous ne sommes pas liés à un fournisseur et nous nous attachons à toujours orienter nos clients vers la solution qui est la plus adaptée pour eux, selon trois axes : fonctionnalité, prix, et localisation.

Analyse de vos services

Steel Blue est une société informatique née dans le Cloud. Nous avons une véritable connaissance du marché et des différentes alternatives car nous les exploitons sans distinction pour nos clients.

D’ailleurs, nous proposons régulièrement à nos clients d’effectuer pour eux une analyse de leurs services et de leur informatique, en faisant un comparatif gratuit avec les différentes solutions présentes sur le marché. Vous avez ainsi une vision à 360° des solutions disponibles avec une analyse technologique et financière complète.

Vous souhaitez challenger votre solution actuelle ? Contactez-nous et nous vous aiderons à choisir la meilleure alternative Cloud en accord avec les besoins de votre entreprise. Alors n’hésitez plus, nous sommes prêts à dégainer pour vous nos calculatrices !


La tendance dans les PME est forte en cette rentrée : elles envisagent de plus en plus de dématérialiser leurs postes de travail. Et de les externaliser dans le Cloud. Avec Steel Workspace (bureau virtuel), nous avons tout pour les aider. Et même un peu plus, puisque nous baissons leur prix.

Un poste Cloud géré pour moins de 100.-, c’est possible ? Au regard du potentiel croissant que les postes virtuels suscitent sur le marché, nous avons décidé de répondre positivement à cette question et de les rendre encore plus attractifs. Nous procédons à la rentrée à une baisse de tarif importante sur l’ensemble de notre gamme, et sans réduction du niveau de service.

Dans le détail, voici quelques exemples de diminution de tarif que nous allons appliquer :

  • Steel Workspace Standard (notre bestseller), 99.- /mois au lieu de 109.-, soit une baisse de près de 9%
  • Steel Workspace Performance, 124.- /mois au lieu de 159.-, soit une baisse de près de 22%

Pour rappel, notre milieu de gamme Steel Workspace Standard est parfait pour la bureautique, et vous offre pour 99.- /mois, service inclus :

  • processeur :  2 vCPU
  • mémoire : 4 GB de RAM
  • disque dur : 50 GB SSD + 80 GB système
  • interface Windows 7 ou Windows 10

Comment fonctionne notre poste Cloud Steel Workspace ?

Steel Workspace est un  Bureau virtuel hébergé dans le Cloud et entièrement managé par Steel Blue. Le principe est simple : votre périphérique (ordinateur portable ou fixe, terminal Dell Wyse, tablette) s’occupe uniquement de l’affichage sur votre écran. Le calcul et le stockage des données sont traités dans le Cloud. Vous vous affranchissez ainsi des risques de panne et vous gagnez en mobilité. Steel Workspace est un service « all inclusive » et comprend :

  • des ressources dédiées et garanties (processeur, mémoire, disque dur)
  • 2 sauvegardes quotidiennes des données stockées sur le poste
  • la maintenance et les mises à jour
  • un support utilisateur illimité en temps
  • un disponibilité des données garantie à 99,99%
  • la supervision et la documentation

Faites des économies sur votre parc informatique

Nos études de cas clients le montrent : le remplacement des postes de travail physiques par des bureaux virtuels permet de réaliser une économie d’environ 15% avec un amortissement de 36 mois (achat de l’ordinateur, licence Microsoft, maintenance, support utilisateur). Soit environ CHF 440.- d’économie sur 3 ans par ordinateur.

Vous aimeriez connaître le détail de nos calculs ? Consultez les articles suivants :

Au fil des ans, la location mensuelle d’un bureau virtuel vous permet d’éviter les investissements lourds tout en économisant sur les frais d’exploitation, comme le résume notre infographie ci-dessous. Et vous ne subissez plus non plus le coût des pannes, des pièces de remplacement, et des pertes d’exploitation causées par une machine hors d’usage.

Poste virtuel Cloud - Comparatif

 

Notre location mensuelle sans engagement vous permet aussi de réduire la voilure si votre activité ralentit, pour vous éviter de vous retrouver avec du matériel sur les bras.

Pourquoi une baisse de prix de nos bureaux virtuels

Fidèle à nos engagements, nous nous efforçons de maintenir des prix justes pour nos clients, dès que les conditions du marché le permettent. En cela, nous appuyer sur les leaders du Cloud public nous donne une extrême réactivité. Nous poursuivrons ces efforts dans les mois et années à venir pour vous faire bénéficier de baisses de tarif, lorsque cela est possible.

Si vous n’êtes pas encore client, profitez de notre nouvelle gamme de prix (à partir du 1er septembre) pour évaluer le déploiement de bureaux virtuels dans votre environnement. En commençant par un test gratuit d’un mois. N’hésitez plus et inscrivez-vous ci-dessous dès maintenant. Vous verrez, vous n’en reviendrez pas, au propre comme au figuré.


L’adoption du Cloud et des solutions de mobilité est exponentielle dans les entreprises. Avec, à la clé, des gains de productivité et de flexibilité. Et en filigrane, une exposition croissante des données. Garantir la sécurité sans ralentir l’activité de votre PME peut devenir un casse-tête. Est-ce pour autant la quadrature du cercle ? Pas forcément.

Selon Gartner, 25% des données d’entreprise sont échangées à l’aide d’équipements mobiles (smartphones, tablettes) en dehors du périmètre de sécurité de l’entreprise. La majeure partie de ces échanges transite par le Cloud. Le risque de perdre le contrôle de vos données professionnelles est donc bien réel. Faut-il pour autant réduire le panel d’outils mobiles offert aux collaborateurs pour maîtriser ces risques ? Ou interférer avec la vie privée des collaborateurs pour prendre partiellement le contrôle de leurs appareils personnels ? Une voie du milieu existe, permettant de faire la part des choses. On vous explique tout.

BOYD et mobilité : plus qu’une tendance

Bring Your Own Device, vous connaissez ? Il s’agit d’une approche consistant à laisser les utilisateurs se servir de leur propre matériel pour effectuer des tâches professionnelles. Souvent contre une indemnité. Dans l’air du temps, cette approche officialise en quelque sorte la perméabilité entre la vie privée et la vie professionnelle. Elle se développe à vitesse grand V, notamment dans les grandes entreprises.

Les PME y goûtent aussi, notamment par le biais de la messagerie ou des outils de synchronisation de fichiers. La démocratisation du télétravail constitue un autre facteur d’expansion du BYOD dans les petites entreprises. Les collaborateurs apprécient de ne pas avoir à travailler avec des appareils dédiés, mais simplement avec le PC ou le Mac de la maison. Bref, tout le monde y gagne. Sauf peut-être la sécurité.

Séparer données personnelles et applications d’entreprise sur un même appareil, c’est possible grâce au MDM.

Avec d’un côté des tâches professionnelles qui s’exécuteront dans le Cloud à hauteur de 68% d’ici à 2020, et de l’autre des appareils personnels que vous ne maîtrisez pas, le danger guette. D’une part, parce que vous ne maîtrisez pas le niveau de risque ou d’exposition des ordinateurs de la maison : vous n’avez en effet aucune indication sur l’application des mises à jour, ou la présence d’un antivirus par exemple.

Et d’autre part, parce que le Cloud qui sera utilisé n’est pas forcément le vôtre, ou plutôt celui que vous maîtrisez. Il est en effet tentant depuis la maison d’utiliser les produits personnels pour synchroniser quelques fichiers. La version gratuite de Dropbox est un bon exemple. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, elle vous « libère » de la propriété de chaque fichier qui y est posé.

Mobilité + liberté = sécurité (si, si)

Faut-il pour autant reculer et enlever cette souplesse que vos employés aiment tant ? Evidemment non, si l’on prend bien soin de mettre en place les bonnes solutions. A commencer par un réseau d’entreprise solide. Avec un WiFi professionnel par exemple, vous segmentez votre réseau, et vous isolez les appareils personnels des machines de l’entreprise. Vous pouvez même tout simplement interdire à un smartphone sans protection de se connecter. Ce qui évite par exemple, de propager un virus ou un ransomware.

Sans considérer le respect de la vie privée, une stratégie BYOD est vouée à l’échec.

Seconde étape : déployer une solution de partage des fichiers sécurisée et mobile, que vous maîtrisez. Pour cela, il existe des produits pour entreprise fiables et sûrs, dans le Cloud Public. Citons OneDrive (inclus dans Microsoft Office 365) ou encore Amazon Workdocs. Ces logiciels mettent à disposition un espace de stockage conséquent (généralement 1000GB) pour moins de 20.- par mois. Avantage, elles sont intégrées à la gestion de vos utilisateurs : si un employé part, son compte est désactivé et les données ne sont plus accessibles depuis son smartphone.

Dernière brique : la gestion des appareils. Les plateformes de Mobile Device Management (MDM) assurent le contrôle d’une partie des caractéristiques de chaque machine. Même personnelle. Vous pouvez ainsi garantir un niveau de sécurité minimum (dernières mises à jour du système appliquées, antivirus à jour), par le biais d’une simple application installée par l’utilisateur, et d’un code propre à votre PME.

Priorité au respect de la vie privée

Evidemment, la mise en place de tels outils requiert quelques garanties quant au respect de la vie privée. Faute de quoi, vous pourriez subir une belle levée de bouclier de la part de vos employés. A juste titre. Avec à terme un résultat fatalement inverse à celui escompté, et un rejet de vos solutions. La formation jouera alors un rôle primordial : il est toujours plus simple d’accepter le contrôle si l’on en connaît le périmètre d’action et si l’on en comprend la raison.

Une faille de sécurité serait la garantie d’un retour en arrière dans vos usages mobiles. Autant anticiper.

Les solutions de MDM du marché, comme par exemple Cisco Meraki Systems Manager, cloisonnent les appareils en deux. Les applications privées restent en place, et ne sont pas gérées par l’entreprise. Les applications professionnelles sont en revanche déployées et contrôlées par le MDM, et les données qu’elles traitent ne peuvent pas terminer dans la partie privée. En quelque sorte, vous assurez un « chacun chez soi » numérique.

Mieux, certaines options peuvent être désactivées, notamment le geotracking. Bien utile en cas de perte ou de vol d’appareils d’entreprise, il pourrait être bien mal perçu par vos employés, lorsqu’ils sont en week-end ou en vacances. Et même le reste du temps. Vous gardez évidemment la possibilité d’effacer les données professionnelles si un natel se perd, mais c’est tout.

Et maintenant ?

Comme souvent en informatique, les PME ont introduit la mobilité par le biais d’outils personnels dont l’usage s’est généralisé, sans réels stratégie ou contrôle. Jusqu’au moment fatal où une faille de sécurité se produit. Ce qui se traduit immanquablement par un retour en arrière, et une interdiction des usages mobiles. Avant d’en arriver là, il est crucial d’identifier les besoins, et de mettre en place les outils adéquats pour ne pas se priver de la mobilité. Sans pour autant mettre à mal sa trésorerie, le nerf de la guerre des petites structures.

A vous de jouer maintenant. Si vous aimeriez profiter des beaux jours pour mettre au point votre stratégie mobile ou évaluer les risques que vous encourez si vous ne faites rien, rien de plus simple : un simple contact grâce au formulaire ci-dessous, et nous vous montreront lors d’une démo nos outils préférés. Et sans surprise, nous viendrons le faire chez vous, mobilité oblige.


Le coworking a le vent en poupe sur la Côte. Fort de son succès à Rolle, le centre d’affaires Ichibani double sa surface, et accueille maintenant un espace de coworking. Les habitués des lieux auront besoin d’une connexion sans fil à toute épreuve pour garantir le confort de travail. Ichibani a confié à Steel Blue la couverture en réseau sans fil de ses locaux.

Le récent passage du Pape sur Genève l’a démontré : le télétravail gagne les entreprises. A tel point que les routes étaient vides lors de la visite du Saint Père, et nombre d’employés travaillaient à distance. Dans ce contexte, les espaces de coworking sont un moyen idéal d’aller au bureau sans vraiment y aller. Présente sur ce créneau, Ichibani accueille indépendants et entreprises dans son espace de Rolle, entre Genève et Lausanne.

Croissance du coworking entre Genève et Lausanne

Après 7 années d’existence, le succès aidant, il a fallu s’étendre, et la directrice Hélène Daniele va inaugurer un nouvel étage dans son bâtiment de la Z.A. de la Pièce. Idéalement situé en bordure d’autoroute, le nouvel espace de corworking doit aussi séduire par son confort de travail. Luminosité, espace, calme, mobilier : tout doit participer à l’accueil sans faute des travailleurs nomades. Sans oublier les facilités de connexion au réseau. C’est ici que Steel Blue intervient, avec ses appareils de réseau d’entreprise Cisco Meraki, entièrement gérés depuis le Cloud. Hélène Daniele nous explique son choix.

« Historiquement, nous avions installé des appareils WiFi dans notre premier espace, au rez de chaussée. Leurs capacités étaient limitées, mais cela suffisait pour couvrir les zones « nomades », comme la cafétéria. Les bureaux, majoritaires, disposent, eux, de liaisons filaires. Avec le coworking, c’est un peu différent, puisque les utilisateurs sont souvent de passage. Et s’attendent à avoir un réseau sans fil pour ne pas compliquer leur connexion. Il fallait donc une couverture sans faille. »

Un réseau sans fil de premier plan

Grâce aux bornes Cisco Meraki proposées par Steel Blue, Ichibani dispose d’équipements dernier cri, permettant une gestion fine des niveaux de service, et des conditions de connexion. Plusieurs réseaux sont disponibles, et il est possible de contrôler utilisateur par utilisateur, en définissant la sécurité ou la bande passante requise. Les équipements étant gérés en ligne depuis le Cloud, les modifications de configuration sont appliquées quasiment instantanément.

« Steel Blue a pu me démontrer les capacités de gestion de leurs équipements », poursuit Hélène Daniele. « Le niveau de contrôle possible grâce à ces bornes va augmenter radicalement le niveau de service que nous proposons à nos clients. Nous pourrons par exemple voir en temps réel ou via un historique la densité d’utilisateurs dans les différentes zones de nos locaux. Nous pouvons aussi envisager des développements pour simplifier et sécuriser la connexion au réseau. »

Une offre 100% managée, 0% souci

Fidèle à ses principes, Steel Blue fournit un service 100% Cloud, 100% géré, et 100% all-inclusive. Les bornes WiFi sont supervisées à distance, et le moindre comportement suspect ou inhabituel déclenche une alarme. Hélène Daniele explique les avantages de ce fonctionnement.

« Nous mettons la gestion de notre réseau sans fil dans les mains de Steel Blue pour ne pas avoir à nous soucier du service, crucial pour la bonne marche de nos affaires. Nous bénéficions d’un forfait mensuel pour cette gestion, qui inclut le support sans limite de temps. Ce qui est particulièrement important pour nous en phase de croissance, puisque nous connaissons à l’avance le coût du service. Nous avons été séduit, à tel point que nous avons décidé d’équiper finalement les deux étages de nos bureaux. »

Même si vous n’êtes pas à la tête d’un espace de coworking, on imagine facilement que le WiFi est devenu une denrée critique pour votre entreprise et vos salariés. Avoir un aperçu des capacités des bornes Cisco Meraki opérées par Steel Blue pourrait vous donner une idée précise de ce qu’un réseau WiFi professionnel peut vous procurer comme avantages. Prêt pour une démo ? Faites-nous signe grâce au formulaire de contact ci-dessous et nous nous ferons un plaisir de vous faire une visite guidée.


Souvenez-vous : il y a quelques semaines, nous nous étions amusés à décortiquer le coût d’un bon vieux PC physique. Et le comparer à un poste de travail virtuel. Avec quelques surprises au bout du compte. La tentation est grande de refaire l’exercice. Mais cette fois, pour le serveur qui tourne au fond de votre salle technique. Vous êtes prêts ? On ressort les calculettes.

Chez nos clients, l’histoire commence toujours de la même façon, que ce soit pour les PC ou les serveurs. Une simple division entre le coût d’achat d’une machine et la location d’un serveur virtuel équivalent. Avec la même conclusion hâtive : louer coûte plus cher au bout d’une douzaine de mois. Mais nous avons l’habitude de ce réflexe. Et pour tout dire, nous avons plaisir à déconstruire ce mythe avec nos clients. Nos modèles de calcul sont diablement efficaces, et démontrer le contraire est assez simple. Alors faisons l’exercice, chiffres à l’appui.

Nous repartirons des mêmes hypothèses que pour notre comparatif concernant les postes de travail. Nous nous en tenons au monde Windows, avec cette fois un système d’exploitation dédié aux serveurs. Désolé pour les aficionados de Linux, mais le monde des PME est ainsi fait : les RedHat et Ubuntu n’y ont pas fait leur place, c’est ainsi. Côté tarifs, nous prenons en considération ce que nous observons chez nos clients ou dans la distribution professionnelle. Ces bases étant posées, nous voilà parti par une séance d’addition.

Parlons peu mais parlons chiffres

Commençons par la machine, et ses spécifications. Passer d’un environnement physique à serveur virtuel n’est pas aisé, lorsqu’il s’agit d’en déterminer les caractéristiques. Heureusement, certains cadors se sont penchés sur la question. Nous nous reposerons sur leurs travaux. Nous sommes partis ici d’une machine Dell PowerEdge (R430 pour les intimes, 4 cœurs et 16GB RAM pour les technophiles), avec sa licence Windows Server 2016.

Pour comparer ce qui est comparable, nous l’équipons de disques ultra-rapides SSD, d’une redondance des données et de l’alimentation, et nous ajoutons un plan de maintenance matérielle avec assistance sur site (ce que le Cloud offre naturellement). Résultat des courses (c’est le cas de le dire) : nous voici avec une jolie boîte à CHF 5’500.-. Pour enjoliver le tout, nous ajoutons un système de sauvegarde externe pour cette machine. Entre le matériel, le contrat de maintenance et les logiciels, compter 1’000.- de plus. Parfait, nous avons désormais une bonne vision de nos coûts d’achat. C’est fini ? Pas tout à fait…

150W 24/7 avec un kW/h à X centimes donnent X francs à la fin du mois.

Une fois la commande passée, il vous faudra attendre quelques jours au moins pour la livraison. Paramètre difficilement quantifiable, mais bien tangible tout de même. Surtout quand un serveur Cloud est livré en quelques minutes. D’ailleurs, la livraison passée, il faudra installer la machine, physiquement. Et le compteur tourne à nouveau : mise en rack, câblage, démarrage. Comptons 2 heures de votre informaticien préféré. Le seul point commun avec une instance Cloud sera l’installation des logiciels. Mais le reste est en défaveur de la machine physique. Comptons 4 heures pour cette configuration. Et des frais de déplacement du technicien en plus pour la machine dans vos bureaux.

Le coût de votre serveur dès le 1er jour

Maintenant que votre machine est démarrée, le compteur électrique s’affole. Notre serveur Dell dispose d’une alimentation de 550W, qui ne délivre évidemment pas l’entier de sa puissance. Parions sur le fait qu’il ne consommera que 450W, 24 heures sur 24. Pourquoi 450W ? Tout d’abord parce que cela sera proche de la réalité, et aussi parce qu’il s’agit d’un multiple de 150. Petit rappel : 150W 24/7 avec un kW/h à X centimes donnent X francs à la fin du mois. Ici, notre courant à 25 cts se traduira par une note de 75.- par mois. Que vous doublerez avec le courant de climatisation. soit 150.-, juste pour ce serveur.

Une fois votre machine en production, un petit entretien régulier s’impose. Mises à jour, maintenance opérationnelle, vérification des backups : 1 heure par mois ne sera pas de trop. Auxquelles viennent vient s’ajouter le support en cas de panne ou de dysfonctionnement, la supervision et le traitement des alarmes. Calculons en moyenne également 1 heure par mois.

Passée la période d’amortissement, vous serez bon pour réinvestir. Mais pas dans le Cloud, qui vous maintient à l’état de l’art, sans surcoût.

Il est temps de faire les comptes. Nos contrats de maintenance (serveur, backups) étant sur 36 mois, cela constituera notre période d’amortissement. Pour l’achat du serveur physique, le coût total de possession au bout de 3 ans s’élève à 27’550.-. On est loin des 6’500 de départ. Côté Cloud, nous louons une machine équivalente à nos clients pour 549.- par mois. Avec l’investissement initial réduit à quelques heures d’installation, le coût total de possession de votre serveur Cloud au bout des 36 mois est de 20’500.-. Soit une différence de 26%. Service et support illimité compris, et donc sans surcoût.

Et le jour d’après…

Evidemment, les chiffres peuvent varier, et nous sommes ouverts à vos commentaires ou à faire l’exercice avec vos données issues du terrain. Mais malgré ce potentiel d’économie non-négligeable, le plus important se cache peut-être ailleurs. Ou plutôt : après. Car au bout des 3 ans, vous devrez racheter du matériel et redémarrer un cycle. Avec un nouvel investissement conséquent. Mais pas dans le Cloud puisque remettre une machine au goût du jour, souvent pour moins cher, ne prend pas beaucoup plus de temps qu’un redémarrage. Autrement dit, vous maintenez votre infrastructure dans l’état de l’art.

Cerise(s) sur le gâteau, le Cloud vous offre quelques avantages en plus : inutile de viser trop gros (le fameux « overbuying ») pour tenir les 3 ans, la puissance de votre machine s’adapte à la baisse ou à la hausse. Sans investissement, juste par adaptation du coût de la location. Et si jamais vous deviez arrêter votre machine car votre application est devenue inutile plus tôt que prévu, vous cessez simplement de payer sans vous retrouver avec du matériel sur les bras.

A ce stade, je suis sûr que vous avez envie de procéder au calcul pour votre propre cas, non ? Rien de plus simple : faites-nous signe en nous envoyant un petit message de contact grâce au formulaire ci-dessous, et nous viendrons appliquer notre modèle à votre serveur. Histoire de confronter notre histoire à la vôtre. Et d’en finir définitivement avec les mythes.


Votre parc de postes utilisateurs est au bout du rouleau. Vos PC n’avancent plus, et votre productivité est en berne. Ca n’aide pas votre trésorerie, qui était déjà tendue. Et cela sonne comme un cercle pas tout à fait vertueux. Vous vous seriez bien passé de devoir racheter du matériel ? Lisez ce qui suit pour savoir comment transformer cette situation a priori inextricable en une chance de faire un bond en avant vers la modernité. Grâce au bureau virtuel.

Si vous êtes un lecteur assidu de ce blog, vous savez déjà que nous sommes fan du poste de travail virtuel Cloud. Son gros avantage ? Il vous libère du matériel informatique et des contraintes qui vont avec : investissements lourds, maintenance, vieillissement, pannes et réparations. Et filigrane, il fait surtout passer votre informatique de l’ère de l’achat à celle de la location. Autrement dit, vous changez tout simplement d’époque : à vous la modernité !

Petit rappel des faits

Et pour ceux qui n’auraient pas suivi, commençons par un petit rappel sur le mode de fonctionnement du bureau virtuel. Comment ça marche ? C’est assez simple : il s’agit d’un ordinateur dématérialisé – pour simplifier, une fraction d’un (très) gros serveur – qui tourne dans un centre de données Cloud. Mais alors, comment l’utiliser s’il est distant ? Si le traitement des données (dans le processeur, en mémoire, sur le disque dur) est réalisé à distance, l’écran, lui et lui seul, reste chez vous. Les images qui constituent l’affichage de l’ordinateur arrivent jusqu’à vous par Internet depuis le Cloud. C’est un peu comme si vous aviez un très long câble écran qui passerait par Internet. Un petit dessin valant mieux qu’un long discours, voici à quoi cela ressemble.

bureau virtuel cloud

Conséquence : il vous faut tout de même une machine dans vos bureaux pour assurer cette simple fonction d’affichage, via une application dédiée. Avantage : n’importe quelle machine fera l’affaire. Et de de préférence vos vieux PC. Avec le poste virtuel, vous les transformez en bêtes de course tout neufs sans changer la moindre pièce. Rappelez-vous : ils se contentent de faire de l’affichage alors que la performance dépend des ressources dans le Cloud. Au lieu de tenter de maintenir votre vieille bécane à flot, il vous suffit de désinstaller toute les applications, de ne plus assurer de maintenance, et de vous contenter de l’utiliser pour afficher votre bureau virtuel. Autre atout : cela fonctionne dans tous les environnements. Tablette, PC, Mac, Android : tous les terminaux sont compatibles. Nous y reviendrons.

Le poste virtuel : l’ami de votre trésorerie

D’un point de vue financier, quel intérêt ? Là encore, vous changez d’ère en passant à la location. Comme pour vos locaux, vos voitures, et bien d’autres choses. Il est même étonnant que les postes de travail soient encore le dernier bastion de l’investissement informatique. Du coup, vous protégez votre trésorerie, car vous n’avez plus à dépenser sans compter pour remplacer vos ordinateurs. Et sur la durée ? La location vous coûte sensiblement moins cher que l’achat et la maintenance. Si vous avez du mal à faire le calcul, nous avons fait la comparaison pour vous afin que vous sachiez combien coûte un poste de travail virtuel, tout compte fait.

Non seulement vous boostez vos postes sans rien acheter. Mais vous gagnez en mobilité et en flexibilité. Qui dit mieux ?

Comme vous n’êtes pas magicien, et nous non plus, vos vieux ordinateurs finiront tout de même par s’arrêter, définitivement. Et vous devrez trouver un autre appareil pour assurer l’affichage de votre poste distant. Là encore, vous allez profiter de la modernité du poste virtuel dans le Cloud. Avec plusieurs options. Vous pouvez par exemple acheter un terminal compatible. Quel intérêt, alors qu’on vous a promis la fin du matériel ? Pour environ 400.- vous disposez d’un appareil dédié à cette tâche d’affichage, et donc très simple. Aucune maintenance nécessaire, une consommation électrique très faible (9 watts), et une durée de vie mesurée de 7 ans. Ca n’est plus du matériel, mais du consommable.

Ah! une dernière chose…

Autre possibilité, pour une utilisation ponctuelle (un intérimaire, un stagiaire) : laissez-le utiliser son propre ordinateur portable pour se connecter. Aucune donnée ne transite entre l’ordinateur physique et le bureau virtuel. Souvenez-vous, il ne s’agit que d’affichage qui arrive jusqu’à l’ordinateur. Les données restent sur le poste dans le Cloud. Et à ce stade, vous vous demanderez pourquoi votre stagiaire ne pourrait pas utiliser son poste depuis la maison puisqu’il se sert de son ordinateur personnel ? Le réponse est simple : rien. Le PC virtuel est l’allié naturel du télétravail et de la mobilité. Plus aucun document sur les portables des collaborateurs : vous ne craignez plus non plus les vols ou les pertes. Et encore moins les embouteillages.

Comme indiqué au début de ce post, vous n’avez pas à vous soucier du type d’appareil de vos collaborateurs. L’application chargée de l’affichage du poste fonctionne sur toutes les plateformes. Vous pouvez même vous connecter depuis votre tablette favorite, confortablement installé au fond de votre canapé. Alors, prêt à changer d’ère ? Le plus simple serait de vous en persuader par vous-même, avec un test. Ca tombe bien, nous offrons à nos clients la possibilité de tester nos postes virtuels Cloud pendant un mois. Gratuitement. Il vous suffit de nous contacter avec le formulaire ci-dessous. Vous verrez, vous allez regarder vos vieilles machines d’un autre œil.