Le Cloud dans les PME en 2016

Le Cloud entre de plain pied dans l’univers des PME suisses. Fiable, flexible, souple et bon marché, il s’accorde parfaitement aux moyens parfois limités de ces sociétés. Les outils à leur disposition sont nombreux. Avant la pause estivale, tour d’horizon des tendances du Cloud dans la jungle des petites entreprises.

Les PME : la prochaine cible du Cloud

Les grandes entreprises ont été les premières à tirer parti du Cloud. Question de moyens, et d’économies d’échelle. Mais les outils se sont adaptés aux besoins des petites organisations. Notamment avec le développement des applications SaaS, c’est-à-dire la location de logiciels prêts à l’usage (par opposition à la location d’infrastructure). L’exemple le plus typique : votre messagerie Exchange en ligne, qui remplace avantageusement votre bon vieux serveur. Et là ou les grands groupes exploitaient directement le Cloud, l’émergence de sociétés spécialisées, jouant le rôle d’intermédiaire, facilite dorénavant la mise en oeuvre de solutions Cloud pour les PME, souvent dépourvues de service informatique.

La professionnalisation des outils grand public

Les grands groupes informatiques ne s’y sont pas trompés. Ils font feu de tout bois pour investir le champ Cloud des entreprises de petite taille. Soit en créant des applications dédiées, telles que Slack, l’outil collaboratif de référence. Soit en adaptant leurs produits issus du grand public : Facebook a lancé il y a peu sa déclinaison professionnelle, Facebook @Work. Les géants historiques ne sont pas en reste, et poussent leur outils professionnels tels qu’Office365, Yammer ou Google Apps for Work. Le matériel s’adapte aussi, avec l’arrivée de tablettes en entreprises, dédiées au travail nomade : Apple iPad Pro, Microsoft Surface Pro.

Chaque application doit désormais être capable de venir se connecter et s’authentifier sur les comptes d’entreprise existants

Un besoin fort d’intégration

Pour s’implanter durablement, les éditeurs Cloud ont donc compris qu’ils ne pouvaient pas se contenter de laisser des utilisateurs professionnels utiliser simplement leurs outils grand public. S’adresser à une entreprise, c’est aussi prendre en compte son organisation, ses processus. L’intégration entre les outils Cloud, afin de proposer une ensemble cohérent, est une priorité. Tout comme la nécessité de gérer les accès aux différentes applications de manière centralisée. La gestion des accès et des identités (IAM, Identity Access and Management) est devenue une problématique centrale. Chaque application doit désormais être capable de venir se connecter et s’authentifier sur les comptes d’entreprise existants (typiquement, vos comptes Windows). Sous peine de se voir définitivement rejeter.

Des nouveaux acteurs innovants, qui bousculent le marché

L’informatique d’entreprise a longtemps été la chasse gardée d’acteurs majeurs, tels que Microsoft ou IBM, qui ont fait la pluie et le beau temps sur ce marché pendant des décennies. Mais le Cloud est désormais un métier de spécialistes, et les PME se retrouvent confrontés à de nouveaux fournisseurs. Exemple typique, Amazon Web Services, leader mondial des services Cloud, n’existait pas il y a dix ans. Les acteurs historiques, s’ils réduisent leur retard, restent toutefois à la peine. Ils ont pris le virage du Cloud avec du retard, et de par le poids de leur existant, éprouvent du mal à innover aussi rapidement que les leaders. En Suisse, Swisscom est actif dans le Cloud, mais c’est Exoscale qui mène la danse. Qui a d’ailleurs récemment reçu un soutien financier de… Swisscom Ventures.

Les fournisseurs Cloud ont réalisé de réels efforts pour donner des gages aux petites entreprises

Une informatique à l’échelle industrielle, même pour les petits

Un des atouts du Cloud pour les PME, c’est de pouvoir disposer d’outils et de prestations jusqu’alors inaccessibles. C’est d’ailleurs une des facettes les moins visibles du Cloud. Que votre entreprise compte 10 ou 10’000 employés, le paiement à l’usage des ressources vous autorise à utiliser les mêmes moyens que votre voisin, pourtant bien plus gros. Là où, il y a quelques années, un investissement de quelques millions instaurait une barrière à l’entrée infranchissable. Une micro structure peut désormais concurrencer une très grosse entreprise, car elle n’a plus à mobiliser des moyens financiers considérables pour une informatique évolutive et solide. Les freins à l’innovation et la concurrence sont de facto levés.

Une guerre des prix favorable aux petites structures

Conséquence de cette industrialisation : une lutte farouche sur les prix. Les infrastructures Cloud industrielles doivent être remplies le plus rapidement possible, et la masse critique pour atteindre la rentabilité est toujours plus élevée. Seul moyen pour occuper rapidement ses serveurs : faire basculer le marché par des baisses de prix fortes et répétées. Conséquence : là où seules de grandes entreprises utilisatrices pouvaient obtenir rapidement un retour sur investissement en misant sur des économies d’échelle, les coûts devenus faibles permettent aux petites entreprises de tirer parti du Cloud même pour des infrastructures limitées. Les seuils d’entrées sont désormais plus que limités.

En Europe, la densification est en marche

Des réseaux globaux, pour coller aux exigences locales

Autre conséquence de cette industrialisation : des réseaux Cloud de plus en plus étendus. Atteindre la masse critique sous-entend d’aller chercher les clients partout. Le Cloud est global. En Europe, la densification est en marche. Chacun vient ancrer sa présence plus profondément, pays après pays. Après l’Irlande et l’Allemagne, Amazon annonce une implantation en Grande-Bretagne. En France, OVH (le premier hébergeur européen) s’implante sur le continent américain, aux Etats-Unis et au Canada. Les acteurs plus modestes mais spécialisés, tels qu’Exoscale en Suisse, suivent aussi cette tendance : extension à l’international et rachat de sociétés participent à cette croissance. Microsoft pousse le bouchon encore plus loin, en confiant l’exploitation de leur Cloud Azure en Allemagne à une tierce partie, afin de contourner la législation US.

Une sécurité sans faille

Dernier point, et non des moindres : le Cloud offre désormais aux PMEs des niveaux de sécurité inédits. La sécurité reste le frein principal de l’adoption du Cloud dans les petites entreprises. Souvent par méconnaissance, ou par habitude d’avoir la main – au sens propre du terme – sur ses données. Les fournisseurs Cloud ont compris depuis longtemps que faire sauter ce verrou constituait la clé du succès. Ils ont donc réalisé de réels efforts pour donner des gages aux petites entreprises. Certificats de sécurité gratuits, certifications en tous genres (notamment PCI-DSS pour les paiements par carte), encryption des données et gestion autonome des clés. Tout est mis en oeuvre pour rassurer les entreprises utilisatrices. A tel point que ce que proposent les fournisseurs est bien souvent sur-dimensionné. Mais qui peut le plus…

On le voit, les conditions d’implantation du Cloud dans les PME sont toutes réunies. Avec à la clé, des gains en compétitivité, la conquête de nouveaux marchés et une transformation profonde de l’activité. A vous maintenant de faire le tour de la question, et de vous jeter à l’eau. Evidemment, un petit coup de main ne serait pas de trop, non ? Contactez Steel Blue pour évaluer votre situation et définir les outils qui seront les plus adaptés à votre cas. Rien ne sert de sauter dans le grand bain sans prendre quelques cours auparavant…

Steel Blue : all inclusive, all right !

Coûts informatiquesLe budget informatique est un poste important pour toute PME romande. Pourtant, si les coûts d’achats sont connus, l’exploitation du matériel recèle quelques surprises. Et la note est encore plus salée qu’il n’y paraît. Levons le voile sur les frais cachés d’un système d’information classique.

Demandez à un patron suisse ce qu’il pense de son informatique. Avant même d’en évoquer les qualités, il parlera de son coût. Souvent en des termes peu élogieux. Et pourtant, en grattant le vernis, le constat est toujours le même : certes les montants en jeu sont importants, mais le dirigeant ne maîtrise pas l’ensemble des facteurs de coûts. Son impression est donc légitime, bien qu’il soit encore loin de la réalité.  Cela vous rappelle quelque chose ? Prenons l’exemple d’un serveur tout simple, et parlons peu, mais parlons chiffres.

L’important, c’est d’être au courant

La majorité des PME dispose encore de serveurs dans leurs propres locaux. Par choix, par inertie, par obligation, ou par refus d’externalisation. Ces jolies boîtes sont en général cachées au fond d’un placard ou d’un local. Loin des yeux, loin du coeur. A tel point qu’on les oublie, elles et leur consommation électrique. Et pourtant… Ces serveurs tournent 24 heures sur 24. A 25cts du kW/h (un tarif qu’on rencontre régulièrement en Suisse romande), un serveur de 500W finit par vous coûter 1’000.- par an. Ajoutez le même montant pour la climatisation, ou la consommation supplémentaire du serveur en l’absence de celle-ci. A multiplier par le nombre de vos machines, évidemment.

L’effet boule de neige

Parlons maintenance, maintenant. L’usage veut que votre matériel informatique soit entretenu via les fameux carnets d’heures. Ces carnets, que vous payez à l’avance, vous donnent droit à des heures de support et de maintenance. Chaque intervention y est décomptée. Evidemment, le volume horaire souscrit correspond à un usage normal dans une PME comme la vôtre. Mais que se passe-t-il en cas de pépin ? Votre carnet arrive à expiration plus vite que prévu, et il faut repasser à la caisse avant la fin de l’année. Pour payer la même société que celle qui a maintenu votre serveur avant qu’il ne tombe en panne. Rien ne vous choque ? En tout cas, difficile de prévoir vos coûts informatiques dans ces conditions. C’est probablement à ce moment précis que le terme « cher » vous vient à l’esprit.

Bonne nouvelle : vous n’avez plus besoin de posséder vos machines

Il n’est pas rare non plus que vous ayez dû remplacer votre serveur avant la fin de son amortissement. Vieillissement prématuré du système, pannes à répétition, contraintes techniques ou besoin de puissance : les motifs ne manquent pas. Mais au bout du compte, vous avez dû débourser à nouveau ou refaire un leasing. Tout cela pour acheter, encore et toujours, du matériel. Alors que dans d’autres domaines, vous adaptez vos ressources en fonction de vos besoins, et que vous les louez : vos abonnements téléphoniques, vos bureaux, votre parc de véhicules. Pourquoi faudrait-il que vos chers serveurs échappent à la règle ?

Une location, sinon rien

Bonne nouvelle, vous n’avez plus besoin de posséder vos machines. Les technologies Cloud vous permettent aujourd’hui de louer ce dont vous avez besoin, sous forme virtuelle. Et ceci n’est pas restreint à vos serveurs : louez aussi vos postes de travail, ou votre stockage de données. Non seulement vous connaîtrez à l’avance le coût de vos ressources, mais vous pourrez les adapter, à la hausse ou à la baisse, au gré de vos besoins. Surtout, vous bénéficiez d’effets d’échelle qui réduisent drastiquement les coûts d’exploitation.

Chez Steel Blue, nous croyons à la location qui vous met à l’abri d’investissements malheureux. Nous croyons à l’externalisation et au Cloud pour ne plus jeter l’argent par les fenêtres. Nous croyons aux services all inclusive sans limite de temps qui protègent votre trésorerie et rendent vos coûts prédictibles. Nous proposons des études de retours sur investissement et de coût total de possession. Bref, nous aidons nos clients à analyser les chiffres réels de leur informatique, et les rendre maître de leurs dépenses. Vous aimeriez vous aussi en savoir plus ?  Prenez contact avec nous dès maintenant, et laissez-nous faire chauffer notre calculette !

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BackupEn ce printemps 2016, Steel Blue revoit les tarifs de Steel Remote Backup, son produit phare de sauvegarde Cloud à distance. Pour le plus grand bonheur de ses clients.

Pensez-vous que les prix sont voués à toujours augmenter ? Pas nous ! Le marché du stockage d’entreprise est en ébullition, et les prix baissent. Nous avons décidé d’en faire profiter nos clients.

A partir du 1er juin 2016, nous appliquons des rabais de 8% à 23% sur le service Cloud de sauvegarde à distance, géré par nos soins. Ces baisses s’appliquent aussi bien aux nouveaux clients qu’aux clients existants, qui en bénéficieront automatiquement sur leur prochaine facture.

Steel Remote Backup vous permet de protéger vos serveurs, internes ou dans le Cloud, en copiant vos données sur un espace de stockage sécurisé et distant. Ce service est 100% géré. Nous surveillons que les sauvegardes se passent comme il faut, et nous vous fournissons un service de support et maintenance all-inclusive. Le tout pour un tarif mensuel fixe et sans surprise.

Un exemple : obtenez désormais un espace de stockage de 100GB pour 45.- /mois, service compris. Tout simplement imbattable.

Et en prime, si vous êtes un nouveau client, le premier mois est pour nous. N’attendez plus et inscrivez-vous dès maintenant ci-dessous !

 

Cloud et régiesDans une économie en plein bouleversement numérique, les régies immobilières pourraient apparaître comme des exceptions. Les biens qu’elles gèrent font plutôt dans le tangible et le concret, et gérer de la pierre les conduit à cent lieues du Web et de l’informatique.  Et pourtant, elles n’échapperont pas à la règle : la numérisation sera au cœur de leur activité dans les années à venir. Voici 3 raisons de passer par le Cloud pour assurer leur mue numérique.

Les régies se sont globalement bien adaptées à la première révolution numérique, celle d’Internet. Les biens sont maintenant visibles sur leur site Web. Et les visites virtuelles se généralisent. Mais la seule présence en ligne ne suffit plus. La deuxième vague de digitalisation des entreprises leur impose de nouveaux modes de fonctionnement, empreints de rapidité, de flexibilité et d’échanges électroniques.

Sur la route

Premier constat : les régies ont une forte activité sur le terrain. Etat des lieux, visites client, acquisition de portefeuille : les raisons de se déplacer sont nombreuses. De fait, l’accès aux outils de l’entreprise en dehors de celle-ci devient une nécessité absolue. Une estimation de bien à répercuter dans la minute ? Une réservation de location qui bloquerait la visibilité du bien sur le site ? Un constat d’état des lieux à remplir en ligne ? Ou encore, des photos transmises à la volée pour mettre à jour un dossier ? Les exemples sont nombreux. Accéder aux outils de gestion de manière indifférenciée, qu’on se trouve dans ou en dehors des locaux est alors une obligation plus qu’une nécessité. Le Cloud est alors la solution la plus efficace, puisque les ressources sont de facto en ligne. Il constitue donc un accélérateur de l’activité et des services.

Une sécurité au-delà de tout soupçon

Pour autant, la sécurité ne doit pas être négligée. Notamment parce que de nombreuses informations sensibles sont entreposées sur les systèmes des régies: tarifs, données client. Contrairement aux idées reçues, les données Cloud sont en général plus sécurisées que si elles se trouvaient dans les locaux des entreprises. En particulier, elles ne sont pas exposées sur Internet par défaut, mais se trouvent, bien au contraire, isolées dans un réseau dédié et sécurisé, dont l’accès est strictement contrôlé.

Sur un marché immobilier, variable par nature, la flexibilité doit être de mise

L’impératif de mobilité va par ailleurs de pair avec une fiabilité et une disponibilité sans faille des applications. Si les constats d’état des lieux peuvent être remplis en ligne, il serait inimaginable qu’ils ne soient pas accessibles au moment même de la visite. Avec des niveaux de service frôlant le sans faute, les systèmes Cloud vous assurent d’obtenir le meilleur de la protection et de la disponibilité.

Des coûts sous contrôle

Tous ces avantages sont des atouts pour les régies, réduits à néant s’ils devaient grever leur budget. Sur un marché immobilier variable par nature et sensible aux conjonctures, la flexibilité doit être de mise. Pouvoir déployer des applications à la demande et rapidement est une obligation dans un marché porteur. Tout comme les arrêter ou réduire la voilure si le marché devait se retourner. Avec la location de ressources à la demande et le paiement à l’usage, le Cloud est l’outil idéal pour disposer d’une infrastructure qui s’adapte en permanence aux besoins des régies. Et lisser ses coûts tout en les gardant en ligne avec ses revenus.

Vous dirigez une régie immobilière en suisse et vous aimeriez en savoir plus ? Vous souhaitez gagner en mobilité, sécurité et contrôle des coûts de votre informatique ? Prenez contact avec Steel Blue et nous vous présenterons les solutions Cloud qui s’offrent à vous. Afin de vous accompagner sur le chemin de la numérisation de votre entreprise. Et relever le défi de la régie digitale grâce à nos offres 100% Cloud, 100% all inclusive.

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Digitalisation des PMEDigitalisation : le mot est sur toutes les lèvres. Un peu barbare, il correspond à une réalité bien concrète. Les entreprises, de tous secteurs et de toutes tailles, se numérisent. Et avec elles, leurs processus de vente, de gestion, de production. Tout comme leurs documents et leurs échanges. La multitude de petites sociétés qui constituent le tissu économique de la Confédération, n’échappera pas à la règle. Et vous non plus.

L’eCommerce a longtemps été la partie partie la plus visible de cette numérisation. Internet s’est installé dans nos modes de vie et a bouleversé nos mentalités et notre façon de consommer. L’avènement des natels y a aussi largement contribué. Les activités d’échange se sont peu à peu dématérialisées. Et aujourd’hui, ce sont les entreprises qui font face à cette vague. La vente de produits se fait en ligne, les transactions entres partenaires, fournisseurs et clients délaissent le papier. La relation avec la clientèle passe par les réseaux sociaux. Et tout s’accélère.

S’adapter vite et bien

Conséquence, les entreprises doivent être capables de mettre en place et d’exploiter de nouveaux outils numériques très rapidement. Et sans casser leur tirelire. Mieux : elles doivent pouvoir les abandonner ou en changer en fonction de l’évolution de leurs besoins. On comprend évidemment que seul un paiement à l’usage de ces outils peut répondre à cette demande et s’adapter en un claquement de doigt. Et que l’utilisation de ressources louées, et non plus possédées, devient une évidence.

Les premiers candidats à la transformation vont accélérer leur rythme d’innovation

Résumons : votre entreprise doit dématérialiser ses échanges et ses processus, et elle doit le faire vite et bien, tout en restant capable de s’adapter et en maîtrisant ses coûts. Sous peine de voir fuir ses clients et ses partenaires sous d’autres horizons, où ils sauront trouver l’agilité qu’ils recherchent. Tout cela dans un contexte de trésorerie tendue, mise à mal par le Franc fort. Mon petit doigt me dit que votre vieux serveur poussif dans un coin de votre bureau ne fera pas l’affaire bien longtemps. Je me trompe ?

L’évidence du Cloud

En effet, si la numérisation de votre entreprise transforme son organisation, il en va de même pour votre infrastructure informatique. Votre informatique doit se dématérialiser pour gagner en agilité. Seul l’emploi du Cloud pour vos ressources vous assure de garder un temps d’avance. Une application à déployer ? C’est l’affaire de quelques heures. Un besoin de puissance ponctuelle pour votre campagne marketing ? Idem. tout cela en respectant votre trésorerie en vous garantissant le parfait respect de votre sécurité informatique.

Il n’y a plus à tergiverser : la digitalisation est là, et ça n’est pas une option. Ceux qui prennent le virage en tête tiendront la corde pendant quelques temps. Car accélération des échanges signifie augmentation du rythme de croisière et des affaires. Les premiers candidats à la transformation vont accélérer leur rythme d’innovation, et rattraper le retard sera d’autant plus dur pour les suiveurs.

Vous voulez rester dans la course ? Prenez-contact avec Steel Blue. Nous aidons nos clients à dématérialiser leur informatique, pour mieux numériser le reste. Ils deviennent flexibles et rapides, dans tous les secteurs. Et profitent de la tendance pour marquer des points sur leur marché. Quelque chose me dit que vous voulez en être. Vous avez frappé à la bonne porte : nous ne faisons que du Cloud, et nous le faisons bien.


Sécurité informatiqueLe Cloud est souvent identifié à Internet. Et aux risques qui vont avec. Dans l’esprit des utilisateurs, c’est donc un écueil pour la sécurité informatique. Une sorte de moindre mal auquel ils doivent se plier, bien conscients que l’avenir de leurs données passera par-là. Alors qu’elles y sont bien mieux protégées qu’ailleurs. Rétablissons quelques vérités.

Une étude récente a montré que la première réticence des chefs d’entreprise à basculer leur informatique dans le Cloud tenait aux risques concernant la sécurité. Le sentiment de perte de contrôle, lié à l’éloignement physique des données, les inquiète. Il s’agit là d’une réaction somme toute naturelle, après des années d’informatique en dur, dans leurs locaux. Et pourtant, les ressources mutualisées qui sont mises à disposition dans le Cloud permettent de faire jouer l’effet d’échelle. Et donc de mettre en oeuvre des techniques de protection des données avancées, tout en maîtrisant les coûts de cette sécurité. Petite revue d’inventaire.

Les trois piliers de la sécurité informatique

Commençons par une petite précision. La sécurité informatique est un vaste domaine, qui peut schématiquement se diviser ainsi : la confidentialité, la disponibilité, l’intégrité. La confidentialité garantit que seul le propriétaire des données – une personne, une entité – peut accéder aux données. Le Cloud met en oeuvre de facto les techniques de cryptage les plus sûres, sans surcoût particulier. Et vous permet de gérer de manière autonome les clés qui auront servi à ce cryptage.

Le Cloud met en oeuvre de facto les techniques de cryptage les plus sûres

Vous vous assurez donc que vous seuls pourrez débloquer le verrou, au moment où vous le souhaitez. Ceci est vrai pour le stockage de vos données, mais également pour le disque dur des ordinateurs que vous louez dans le Cloud. Ou encore, lors du transfert de vos données entre vous bureaux et le Cloud. La chaîne de protection est totale.

Des données fidèles

La disponibilité consiste à mesurer la proportion de temps pendant laquelle vos données sont accessibles. Si vous avez déjà subi une panne de serveur, vous savez à quel point ce paramètre peut être crucial. Car au-delà de la panne, se cachent les pertes de temps et d’exploitation. Pour assurer le taux le plus élevé possible, une technique commune consiste à dupliquer les appareils de stockage et répliquer les données entre eux. Une sorte de roue de secours déjà gonflée, en quelque sorte.

Vous aurez plus de chance de gagner à l’EuroMillions que de perdre un fichier

Mais alors que ce type d’installation vous coûtera une somme déraisonnable, la mutualisation des moyens dans le Cloud vous permet de vous l’offrir sans aucun surcoût. Et même pour un prix par gigaoctet imbattable. Avec à la clé un taux de disponibilité qui peut monter à 99.99%. Ce que ça signifie exactement ? Moins d’une heure d’indisponibilité par an. Difficile de faire mieux n’est-ce pas ?

Un protection physique sans faille

Parlons intégrité maintenant. Derrière ce terme, se cache la capacité des données à ne pas être altérées par des tiers ou des événements. En clair, on parle ici de perte de données – corruption, vol, effacement – soit par l’accès physiques aux machines, soit par l’accès via une connexion – ce que l’on appele généralement le piratage. Là encore, les dimensions industrielles des centres de données Cloud permettent de mettre en oeuvre des protections d’accès physiques sans commune mesure avec les moyens d’une PME classique: contrôle d’accès biométriques, sas unipersonnels, surveillance vidéo, etc.

Le Cloud offre une chaîne de protection totale

La durabilité des données dans le temps est quant à elle assurée grâce aux mécanismes de réplication de données évoquées plus haut. Dans les faits, vous aurez plus de chance de gagner à l’EuroMillions que de perdre un fichier. Par ailleurs, la plupart des fournisseurs Cloud prennent des mesures organisationnelles de protection qui font l’objet de certifications (ISO notamment) et d’audits réguliers. Et les accès réseau aux ressources Cloud sont supervisés en permanence par des armées d’ingénieurs qui scrutent le moindre comportement suspect. Vous voilà donc rassurés.

Maintenant que le Cloud vous garantit les meilleurs niveaux de protection de votre infrastructure, vous devez également protéger vos applications et services. C’est là qu’intervient en général le prestataire de service. Steel Blue peut vous accompagner dans cette démarche. N’hésitez plus, et contactez-nous dès maintenant, nous saurons vous orienter vers la bonne solution Cloud, et la gérer pour vous en toute confiance.


Chaque année, le nombre de pendulaires augmente autour du lac Léman. On parle de 40% en 10 ans. Et les infrastructures ne suivent plus, à deux doigts de craquer. Résultat : des millions d’heures de travail perdues dans les transports. Votre entreprise n’y échappe pas. Pourtant, tout est là pour y remédier et ne plus perdre ce temps précieux. Tour d’horizon des bonnes pratiques de la mobilité.

Ce mois de mars n’est pas sans nous rappeler que l’hiver n’est pas encore terminé. Avec son lot de chutes de neige, qui rend la situation des pendulaires pire encore. Quel rapport avec l’informatique Cloud me direz-vous ? Il est pourtant simple : les moyens sont désormais à portée de main pour ne plus travailler comme avant, et déplacer ces masses de collaborateurs. Dans le secteur des services, la numérisation rapide des métiers permet de s’affranchir d’une présence sur site. Il est grand temps de prendre un autre train : celui de la modernité.

Bureau virtuel, présence bien réelle

Il n’est plus nécessaire d’être au bureau pour accéder à son bureau. Les technologies de virtualisation laissent tout un chacun utiliser son poste de travail depuis la maison ou via une simple tablette lors d’un déplacement. L’environnement est le même, les fichiers et les applications sont là. Tout est réuni pour que cette journée de travail soit une journée comme une autre. Ajoutez-y une pincée de collaboratif – partage de fichiers, modification à plusieurs – et de vidéoconférence, et vous ne trouverez pas différent de travailler ainsi que d’aller voir collègues de Bâle ou Zürich. Sauf que, pour le coup, c’est peut-être vous qui serez en Birkenstock…

Regroupez votre téléphonie d’entreprise et votre poste de travail virtuel à la maison, et économisez les trajets

Une ligne fixe très mobile

La téléphonie sur Internet est mature depuis plusieurs années. Mais la fin des lignes classiques dès 2017 va accélérer la transition vers cette technologie. Qui bouleverse complètement la façon d’envisager son téléphone de bureau. Vous pouvez recevoir vos appels fixes sur notre natel, appeler depuis votre mobile en présentant le numéro de la réception. Ou encore installer votre numéro du bureau sur votre tablette ou votre ordinateur personnel. Et même emmener votre poste fixe à la maison pour une longue période d’absence. Tout cela pour un coût quasi nul puisque ces avantages font partie intégrante des solutions de téléphonie sur IP, et que les logiciels nécessaires à leur exploitation sont bien souvent économiques, voire gratuits.

Home sweet home office

Le meilleur endroit pour mettre tout cela en application, c’est évidemment la maison. Un jour de neige, un empêchement personnel ? Ou le souci de promouvoir le home office comme valeur d’entreprise ? Regroupez votre solution de téléphonie d’entreprise Cloud et vos postes de travail virtuels sous un seul toit – c’est le cas de le dire, et économisez les temps de trajet. En plus d’être écologique, ce qui ne gâche rien, cette approche vous permet d’obtenir l’adhésion de vos employés. Notamment des plus jeunes – la fameuse génération Y, particulièrement sensibles à l’équilibre avec leur vie privée. En tant qu’employeur, vous devenez exemplaire. Et vos employés vous le rendent bien, avec une efficacité et une productivité qui s’envolent.

Vous voilà prêts à tester ces nouveaux modes de travail. Mais vous ne savez pas encore comment procéder ? Pas de souci, nous sommes là pour vous aider. Prenez contact avec nous, nous viendrons évaluer votre situation pour vous proposer les outils les plus adaptés. Pour le plus grand bien de vos employés et de votre société.


serveurs-cloud-suisseLes entreprises sans infrastructure informatique deviennent une réalité. Quelques références, telles que Netflix ou AirBnB montrent désormais la voie. Elles ont supprimé l’ensemble de leurs serveurs pour se concentrer sur leur métier : le développement de leurs applications et services. Vous pensez que le cas de ces géants ne vous concerne pas ? Pas tant que ça, vous allez comprendre. Petits parallèles.

L’externalisation de serveurs dans le Cloud n’est pas une mode de plus dans le monde de l’informatique. C’est une réelle révolution, profonde et durable. Et pas une nouvelle technologie, telle que l’a été Internet. Non, il s’agit plutôt d’une rupture dans la façon de consommer ses ressources informatiques. Et elle gagne les PME après avoir conquis les grands groupes.

Pour les grands et les petits

Vous pensez que ces technologies ne sont valables qu’à grande échelle ? Que votre petite entreprise n’en tirera pas de bénéfice ? Au contraire. La consommation de ressources à la demande permet de supprimer tout investissement massif. Que vous installiez 1 ou 10 serveurs, vous aurez besoin d’une climatisation, d’une petite salle serveur, de câblage et d’électricité. Tout une panoplie d’investissements que vous devrez réaliser et payer avant même d’avoir démarré la première machine. Dans le Cloud, vous louez votre machine au moment où vous la démarrez, sans coûts additionnels, sans frais d’achat. Si certains géants de l’Internet ont ouvert la voie, c’est que les les économies d’échelle étaient majeures pour eux. Mais ne vous y trompez pas : elles le seront également pour vous. Notamment parce que vous n’avez pas leurs budgets, et qu’acheter un serveur reste un investissement massif. Mais ça n’est pas tout.

L’avantage d’être agile

L’attrait économique de serveurs dans le Cloud est une chose. Mais ces grands groupes ont également adopté cette approche car elle en faisait des leaders de leur marché. En gagnant en agilité. Faire des économies, c’est bien, mais cela ne vous donne pas forcément une capacité à vous adapter rapidement. Là encore, reposer son informatique sur des serveurs Cloud vous donne un avantage. Mettre en ligne une machine, prête à l’usage, est une question de minutes.

Dans le Cloud, vous louez votre machine au moment où vous la démarrez, sans coûts additionnels, sans frais d’achat.

Evidemment, il vous faudra encore installer les logiciels, la supervisions, etc. Mais on parle de quelques heures, tout au plus. Loin, en tout cas, du processus de commande habituel de votre matériel : offres, budget, achat, livraison, mise en place… Mettre en ligne votre nouvelle application ou votre nouveau projet n’a jamais été aussi rapide et efficace. De quoi distancer la concurrence en vous rendant plus rapide que jamais.

Mais où sont mes données ?

Dernier point d’achoppement : le contrôle de vos données. Avoir son serveur dans ses locaux est source de tranquillité. Du moins, ça l’était, tant que vous n’aviez pas fait face à une inondation, un cambriolage, ou un incendie. Et les avoir à portée de main vous rassure également : pourquoi donc aller les héberger loin de chez vous ? Pensez-vous vraiment qu’Instagram aurait externalisé l’ensemble de ses données sans avoir évalué objectivement le pour et le contre ? En réalité, vous n’aurez jamais autant le contrôle sur vos données qu’une fois qu’elles seront placées dans le Cloud. Protégées des attaques de l’Internet, encryptées, dupliquées, vous avez même la possibilité de définir précisément où elles seront localisées physiquement, en Suisse comme à l’étranger.

Vous hésitez encore ? Peut-être qu’une rencontre de visu vous permettra de vous décider complètement. Prenez rendez-vous avec nous, nous nous ferons un plaisir de procéder à une analyse de retour sur investissement. Et vous constaterez que, petites ou grandes, un serveur Cloud peut profiter à toutes les entreprises. Mais surtout la vôtre.

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L'excellence par Cloud dans les PME suissesLa Suisse cultive l’art du consensus. Cette qualité enviée par de nombreux voisins, peut néanmoins apparaître parfois comme un frein à la prise de virages ou l’adoption de technologies dans ses entreprises. Et pourtant, le pays regroupe toutes les conditions pour les faire passer rapidement et massivement au Cloud. Et surfer sur cette vague avec succès. Explications en 5 points.

La sécurité des données, une cause nationale

Cela pourrait paraître paradoxal de prime abord, mais le niveau de sécurité offert dans un Cloud public est bien meilleur que ce vous pouvez probablement espérer dans vos locaux. Pourquoi ? Tout est affaire de mutualisation. La concentration des moyens permet de mettre en oeuvre des solutions impayables à titre isolé. Que ce soit au niveau des accès physiques, ou de la protection des données et du réseau. Qui pourra prendre le risque de continuer à mettre en danger ses données alors que des solutions efficaces et bon marché existent ? Une position probablement difficile à tenir dans un marché exigeant où la sécurité est érigée en priorité.

Les certifications nécessaires dans les secteurs sensibles

Les prestataires de Cloud publics se sont lancés dans une course à la certification. ISO, PCI DSS, j’en passe. Ces termes barbares cachent leur engagement à assurer des niveaux de service toujours plus élevés. Et garantir une protection qui leur donne toujours une longueur d’avance. Ils creusent ainsi le fossé avec les capacités de certification des entreprises qui conservent leurs infrastructures de calcul et de stockage sur site. A tel point que leurs nouvelles cibles sont désormais les secteurs réputés les plus sensibles jusqu’ici, et aussi les plus régulés : médical, bancaire, finance. Les freins à l’adoption du Cloud pour les plus réticentes tombent les uns après les autres.

Une baisse des prix bienvenue dans un contexte économique tendu

Amazon, Google et Microsoft ont relancé il y a peu la guerre des prix. Et chaque mouvement d’un de ces mastodontes secoue l’ensemble du marché, tel un séisme. Les acteurs de moindre taille sont obligés de suivre la tendance. Exoscale, leader suisse dans le domaine du Cloud public, a lui aussi annoncé une baisse massive de ses tarifs. Certains gros acteurs, tels que HP, ont déjà jeté l’éponge dans cette bataille, préférant s’en remettre à plus gros qu’eux ou attaquer des marchés de niche. Conséquence : les entreprises utilisatrices seront rapidement confrontées à un effet ciseau : face aux coûts d’investissement ou de remplacement de leur matériel dans le cadre d’une digitalisation galopante, et confrontées au franc fort depuis maintenant plus d’une année, elles auront de plus en plus de mal à ne pas céder aux sirènes du Cloud public. Et transformer l’avantage de moindres coûts en atout de compétitivité.

Les PME suisses ne pourront pas se permettre de se reposer sur des technologies vieillissantes

L’innovation suisse portée par l’innovation Cloud

L’innovation technologique est désormais tirée par les acteurs du Cloud. Certains fournisseurs historiques, tels que NetApp, leader dans la fourniture de solutions de stockage sur site, ont dû revoir leur copie. Les voilà qui déplacent dorénavant leurs investissements dans le Cloud. Ce qui aura à terme pour effet de limiter le développement des technologies traditionnelles. Les utilisateurs de ces technologies bénéficieront donc mécaniquement d’une moindre innovation. Un phénomène identique à ce que l’on observe dans la téléphonie, où l’émergence de la voix sur Internet a rendu progressivement caduque le réseau traditionnel. Les PME suisses, terre d’innovation par excellence, ne pourront pas se permettre de se reposer sur des technologies vieillissantes.

L’adoption de la fibre dans la Confédération

C’est une spécificité bien locale : la fibre optique se développe rapidement, et le taux d’adoption du haut débit est l’un des meilleurs au monde selon l’Ofcom. Ce simple brin de verre constitue le support le plus sûr à l’adoption du Cloud. Vitesse, fiabilité, pérennité : la fibre optique constitue le médium de l’avenir. Ce dernier frappe donc aux portes des entreprises, qui peuvent envisager le passage au Cloud sans crainte. Cet effet est amplifié par un écosystème de fournisseurs d’accès de qualité, et une connectivité Internet idéale au centre de l’Europe vers les poids-lourds que sont l’Allemagne, la France ou le Royaume-Uni.

A votre tour, vous aimeriez prendre de l’avance et faire profiter votre PME de l’innovation du Cloud ? Steel Blue vous propose un accompagnement et des solutions propres à vous faire anticiper ce mouvement, et vous donner des avantages compétitifs. Contactez-nous pour savoir comment tirer bénéfice du Cloud. Et n’attendez pas que d’autres le fassent à votre place.


fibre_vitesseLa fibre optique n’est plus réservée aux seules grandes entreprises. Son extension rapide, notamment pour remplacer le cuivre des particuliers, profite également aux PME. Les opérateurs doivent jouer sur l’effet de masse pour rentabiliser leurs investissements. Et la technologie se démocratise. Pour le plus grand bonheur des entrepreneurs.

Au début de la décennie, il n’était pas rare pour une entreprise de se reposer sur une connexion Internet symétrique en cuivre de quelques mégabits par seconde seulement. Ces lignes dédiées étaient particulièrement onéreuses. L’explosion des connexions fibre à la maison a changé la donne. Les mêmes technologies se sont imposées pour les entreprises, en même temps qu’elles se fiabilisaient. Avec à la clé un effet de levier qui pèse sur les prix, car les prestations résidentielles se rapprochent de celles des professionnels.

Un rapport prix prestation imbattable

Imaginez : en 2010, la vitesse moyenne d’une connexion en Suisse était d’un peu plus de 12Mbps selon une enquête de la société Akamai. Il s’agissait la plupart du temps d’une connexion asymétrique, c’est-à-dire avec une vitesse de téléchargement bien supérieure à celle de téléversement. Aujourd’hui, 100Mbps symétrique est désormais la norme. Et les connexions à 1Gbps s’installent progressivement sur le marché. Le tout pour des tarifs en baisse constante. Pour 100Mbps symétriques, comptez désormais moins de 200.- par mois.

100Mbps symétrique est désormais la norme, et bientôt 1Gbps le sera aussi

Mieux encore, ces connexions sont désormais packagées en fonction des besoins des petites entreprises, et tout cela pour le même prix. Il n’est donc pas rare de disposer d’une ligne de secours mobile en 4G, et de la téléphonie incluse avec des paquets de minutes. Les opérateurs mobiles ajoutent en général des rabais sur les abonnements couplés à la même entreprise. Vitesse dans les deux sens de trafic, fiabilité sans cesse renforcée : autant de facteurs qui poussent les entreprises à s’équiper en fibre pour mieux externaliser leurs services et leurs données dans le Cloud. Les capacités sont telles que même l’utilisation de postes de travail virtuels est désormais accessible aux PME.

Déjà connecté ?

Pour ceux qui auraient déjà fait le pari de la fibre il y a quelques temps, l’heure n’est pour autant pas à l’immobilisme. Le déploiement massif de ce réseau a fait bouger les lignes, et la concurrence joue à plein. Les offres alléchantes d’hier ne sont plus forcément d’actualité, et les prix baissent sans cesse. La règle en la matière consiste à revoir ses contrats régulièrement afin de bénéficier du meilleur de la technologie, et bénéficier des dernières vitesses ou des dernières options.

Raison de plus pour nous contacter. Que vous soyez déjà équipé en fibre ou non, sollicitez-nous pour connaître l’état de l’art en matière de fibre optique pour les entreprises, et entamer votre migration vers le Cloud. Vous serez époustouflé par le confort de ces nouvelles lignes, et les possibilités infinies qu’offre le CLoud une fois passé sur la fibre.