Le coworking a le vent en poupe sur la Côte. Fort de son succès à Rolle, le centre d’affaires Ichibani double sa surface, et accueille maintenant un espace de coworking. Les habitués des lieux auront besoin d’une connexion sans fil à toute épreuve pour garantir le confort de travail. Ichibani a confié à Steel Blue la couverture en réseau sans fil de ses locaux.

Le récent passage du Pape sur Genève l’a démontré : le télétravail gagne les entreprises. A tel point que les routes étaient vides lors de la visite du Saint Père, et nombre d’employés travaillaient à distance. Dans ce contexte, les espaces de coworking sont un moyen idéal d’aller au bureau sans vraiment y aller. Présente sur ce créneau, Ichibani accueille indépendants et entreprises dans son espace de Rolle, entre Genève et Lausanne.

Croissance du coworking entre Genève et Lausanne

Après 7 années d’existence, le succès aidant, il a fallu s’étendre, et la directrice Hélène Daniele va inaugurer un nouvel étage dans son bâtiment de la Z.A. de la Pièce. Idéalement situé en bordure d’autoroute, le nouvel espace de corworking doit aussi séduire par son confort de travail. Luminosité, espace, calme, mobilier : tout doit participer à l’accueil sans faute des travailleurs nomades. Sans oublier les facilités de connexion au réseau. C’est ici que Steel Blue intervient, avec ses appareils de réseau d’entreprise Cisco Meraki, entièrement gérés depuis le Cloud. Hélène Daniele nous explique son choix.

« Historiquement, nous avions installé des appareils WiFi dans notre premier espace, au rez de chaussée. Leurs capacités étaient limitées, mais cela suffisait pour couvrir les zones « nomades », comme la cafétéria. Les bureaux, majoritaires, disposent, eux, de liaisons filaires. Avec le coworking, c’est un peu différent, puisque les utilisateurs sont souvent de passage. Et s’attendent à avoir un réseau sans fil pour ne pas compliquer leur connexion. Il fallait donc une couverture sans faille. »

Un réseau sans fil de premier plan

Grâce aux bornes Cisco Meraki proposées par Steel Blue, Ichibani dispose d’équipements dernier cri, permettant une gestion fine des niveaux de service, et des conditions de connexion. Plusieurs réseaux sont disponibles, et il est possible de contrôler utilisateur par utilisateur, en définissant la sécurité ou la bande passante requise. Les équipements étant gérés en ligne depuis le Cloud, les modifications de configuration sont appliquées quasiment instantanément.

« Steel Blue a pu me démontrer les capacités de gestion de leurs équipements », poursuit Hélène Daniele. « Le niveau de contrôle possible grâce à ces bornes va augmenter radicalement le niveau de service que nous proposons à nos clients. Nous pourrons par exemple voir en temps réel ou via un historique la densité d’utilisateurs dans les différentes zones de nos locaux. Nous pouvons aussi envisager des développements pour simplifier et sécuriser la connexion au réseau. »

Une offre 100% managée, 0% souci

Fidèle à ses principes, Steel Blue fournit un service 100% Cloud, 100% géré, et 100% all-inclusive. Les bornes WiFi sont supervisées à distance, et le moindre comportement suspect ou inhabituel déclenche une alarme. Hélène Daniele explique les avantages de ce fonctionnement.

« Nous mettons la gestion de notre réseau sans fil dans les mains de Steel Blue pour ne pas avoir à nous soucier du service, crucial pour la bonne marche de nos affaires. Nous bénéficions d’un forfait mensuel pour cette gestion, qui inclut le support sans limite de temps. Ce qui est particulièrement important pour nous en phase de croissance, puisque nous connaissons à l’avance le coût du service. Nous avons été séduit, à tel point que nous avons décidé d’équiper finalement les deux étages de nos bureaux. »

Même si vous n’êtes pas à la tête d’un espace de coworking, on imagine facilement que le WiFi est devenu une denrée critique pour votre entreprise et vos salariés. Avoir un aperçu des capacités des bornes Cisco Meraki opérées par Steel Blue pourrait vous donner une idée précise de ce qu’un réseau WiFi professionnel peut vous procurer comme avantages. Prêt pour une démo ? Faites-nous signe grâce au formulaire de contact ci-dessous et nous nous ferons un plaisir de vous faire une visite guidée.


Souvenez-vous : il y a quelques semaines, nous nous étions amusés à décortiquer le coût d’un bon vieux PC physique. Et le comparer à un poste de travail virtuel. Avec quelques surprises au bout du compte. La tentation est grande de refaire l’exercice. Mais cette fois, pour le serveur qui tourne au fond de votre salle technique. Vous êtes prêts ? On ressort les calculettes.

Chez nos clients, l’histoire commence toujours de la même façon, que ce soit pour les PC ou les serveurs. Une simple division entre le coût d’achat d’une machine et la location d’un serveur virtuel équivalent. Avec la même conclusion hâtive : louer coûte plus cher au bout d’une douzaine de mois. Mais nous avons l’habitude de ce réflexe. Et pour tout dire, nous avons plaisir à déconstruire ce mythe avec nos clients. Nos modèles de calcul sont diablement efficaces, et démontrer le contraire est assez simple. Alors faisons l’exercice, chiffres à l’appui.

Nous repartirons des mêmes hypothèses que pour notre comparatif concernant les postes de travail. Nous nous en tenons au monde Windows, avec cette fois un système d’exploitation dédié aux serveurs. Désolé pour les aficionados de Linux, mais le monde des PME est ainsi fait : les RedHat et Ubuntu n’y ont pas fait leur place, c’est ainsi. Côté tarifs, nous prenons en considération ce que nous observons chez nos clients ou dans la distribution professionnelle. Ces bases étant posées, nous voilà parti par une séance d’addition.

Parlons peu mais parlons chiffres

Commençons par la machine, et ses spécifications. Passer d’un environnement physique à serveur virtuel n’est pas aisé, lorsqu’il s’agit d’en déterminer les caractéristiques. Heureusement, certains cadors se sont penchés sur la question. Nous nous reposerons sur leurs travaux. Nous sommes partis ici d’une machine Dell PowerEdge (R430 pour les intimes, 4 cœurs et 16GB RAM pour les technophiles), avec sa licence Windows Server 2016.

Pour comparer ce qui est comparable, nous l’équipons de disques ultra-rapides SSD, d’une redondance des données et de l’alimentation, et nous ajoutons un plan de maintenance matérielle avec assistance sur site (ce que le Cloud offre naturellement). Résultat des courses (c’est le cas de le dire) : nous voici avec une jolie boîte à CHF 5’500.-. Pour enjoliver le tout, nous ajoutons un système de sauvegarde externe pour cette machine. Entre le matériel, le contrat de maintenance et les logiciels, compter 1’000.- de plus. Parfait, nous avons désormais une bonne vision de nos coûts d’achat. C’est fini ? Pas tout à fait…

150W 24/7 avec un kW/h à X centimes donnent X francs à la fin du mois.

Une fois la commande passée, il vous faudra attendre quelques jours au moins pour la livraison. Paramètre difficilement quantifiable, mais bien tangible tout de même. Surtout quand un serveur Cloud est livré en quelques minutes. D’ailleurs, la livraison passée, il faudra installer la machine, physiquement. Et le compteur tourne à nouveau : mise en rack, câblage, démarrage. Comptons 2 heures de votre informaticien préféré. Le seul point commun avec une instance Cloud sera l’installation des logiciels. Mais le reste est en défaveur de la machine physique. Comptons 4 heures pour cette configuration. Et des frais de déplacement du technicien en plus pour la machine dans vos bureaux.

Le coût de votre serveur dès le 1er jour

Maintenant que votre machine est démarrée, le compteur électrique s’affole. Notre serveur Dell dispose d’une alimentation de 550W, qui ne délivre évidemment pas l’entier de sa puissance. Parions sur le fait qu’il ne consommera que 450W, 24 heures sur 24. Pourquoi 450W ? Tout d’abord parce que cela sera proche de la réalité, et aussi parce qu’il s’agit d’un multiple de 150. Petit rappel : 150W 24/7 avec un kW/h à X centimes donnent X francs à la fin du mois. Ici, notre courant à 25 cts se traduira par une note de 75.- par mois. Que vous doublerez avec le courant de climatisation. soit 150.-, juste pour ce serveur.

Une fois votre machine en production, un petit entretien régulier s’impose. Mises à jour, maintenance opérationnelle, vérification des backups : 1 heure par mois ne sera pas de trop. Auxquelles viennent vient s’ajouter le support en cas de panne ou de dysfonctionnement, la supervision et le traitement des alarmes. Calculons en moyenne également 1 heure par mois.

Passée la période d’amortissement, vous serez bon pour réinvestir. Mais pas dans le Cloud, qui vous maintient à l’état de l’art, sans surcoût.

Il est temps de faire les comptes. Nos contrats de maintenance (serveur, backups) étant sur 36 mois, cela constituera notre période d’amortissement. Pour l’achat du serveur physique, le coût total de possession au bout de 3 ans s’élève à 27’550.-. On est loin des 6’500 de départ. Côté Cloud, nous louons une machine équivalente à nos clients pour 549.- par mois. Avec l’investissement initial réduit à quelques heures d’installation, le coût total de possession de votre serveur Cloud au bout des 36 mois est de 20’500.-. Soit une différence de 26%. Service et support illimité compris, et donc sans surcoût.

Et le jour d’après…

Evidemment, les chiffres peuvent varier, et nous sommes ouverts à vos commentaires ou à faire l’exercice avec vos données issues du terrain. Mais malgré ce potentiel d’économie non-négligeable, le plus important se cache peut-être ailleurs. Ou plutôt : après. Car au bout des 3 ans, vous devrez racheter du matériel et redémarrer un cycle. Avec un nouvel investissement conséquent. Mais pas dans le Cloud puisque remettre une machine au goût du jour, souvent pour moins cher, ne prend pas beaucoup plus de temps qu’un redémarrage. Autrement dit, vous maintenez votre infrastructure dans l’état de l’art.

Cerise(s) sur le gâteau, le Cloud vous offre quelques avantages en plus : inutile de viser trop gros (le fameux « overbuying ») pour tenir les 3 ans, la puissance de votre machine s’adapte à la baisse ou à la hausse. Sans investissement, juste par adaptation du coût de la location. Et si jamais vous deviez arrêter votre machine car votre application est devenue inutile plus tôt que prévu, vous cessez simplement de payer sans vous retrouver avec du matériel sur les bras.

A ce stade, je suis sûr que vous avez envie de procéder au calcul pour votre propre cas, non ? Rien de plus simple : faites-nous signe en nous envoyant un petit message de contact grâce au formulaire ci-dessous, et nous viendrons appliquer notre modèle à votre serveur. Histoire de confronter notre histoire à la vôtre. Et d’en finir définitivement avec les mythes.


Votre parc de postes utilisateurs est au bout du rouleau. Vos PC n’avancent plus, et votre productivité est en berne. Ca n’aide pas votre trésorerie, qui était déjà tendue. Et cela sonne comme un cercle pas tout à fait vertueux. Vous vous seriez bien passé de devoir racheter du matériel ? Lisez ce qui suit pour savoir comment transformer cette situation a priori inextricable en une chance de faire un bond en avant vers la modernité. Grâce au bureau virtuel.

Si vous êtes un lecteur assidu de ce blog, vous savez déjà que nous sommes fan du poste de travail virtuel Cloud. Son gros avantage ? Il vous libère du matériel informatique et des contraintes qui vont avec : investissements lourds, maintenance, vieillissement, pannes et réparations. Et filigrane, il fait surtout passer votre informatique de l’ère de l’achat à celle de la location. Autrement dit, vous changez tout simplement d’époque : à vous la modernité !

Petit rappel des faits

Et pour ceux qui n’auraient pas suivi, commençons par un petit rappel sur le mode de fonctionnement du bureau virtuel. Comment ça marche ? C’est assez simple : il s’agit d’un ordinateur dématérialisé – pour simplifier, une fraction d’un (très) gros serveur – qui tourne dans un centre de données Cloud. Mais alors, comment l’utiliser s’il est distant ? Si le traitement des données (dans le processeur, en mémoire, sur le disque dur) est réalisé à distance, l’écran, lui et lui seul, reste chez vous. Les images qui constituent l’affichage de l’ordinateur arrivent jusqu’à vous par Internet depuis le Cloud. C’est un peu comme si vous aviez un très long câble écran qui passerait par Internet. Un petit dessin valant mieux qu’un long discours, voici à quoi cela ressemble.

bureau virtuel cloud

Conséquence : il vous faut tout de même une machine dans vos bureaux pour assurer cette simple fonction d’affichage, via une application dédiée. Avantage : n’importe quelle machine fera l’affaire. Et de de préférence vos vieux PC. Avec le poste virtuel, vous les transformez en bêtes de course tout neufs sans changer la moindre pièce. Rappelez-vous : ils se contentent de faire de l’affichage alors que la performance dépend des ressources dans le Cloud. Au lieu de tenter de maintenir votre vieille bécane à flot, il vous suffit de désinstaller toute les applications, de ne plus assurer de maintenance, et de vous contenter de l’utiliser pour afficher votre bureau virtuel. Autre atout : cela fonctionne dans tous les environnements. Tablette, PC, Mac, Android : tous les terminaux sont compatibles. Nous y reviendrons.

Le poste virtuel : l’ami de votre trésorerie

D’un point de vue financier, quel intérêt ? Là encore, vous changez d’ère en passant à la location. Comme pour vos locaux, vos voitures, et bien d’autres choses. Il est même étonnant que les postes de travail soient encore le dernier bastion de l’investissement informatique. Du coup, vous protégez votre trésorerie, car vous n’avez plus à dépenser sans compter pour remplacer vos ordinateurs. Et sur la durée ? La location vous coûte sensiblement moins cher que l’achat et la maintenance. Si vous avez du mal à faire le calcul, nous avons fait la comparaison pour vous afin que vous sachiez combien coûte un poste de travail virtuel, tout compte fait.

Non seulement vous boostez vos postes sans rien acheter. Mais vous gagnez en mobilité et en flexibilité. Qui dit mieux ?

Comme vous n’êtes pas magicien, et nous non plus, vos vieux ordinateurs finiront tout de même par s’arrêter, définitivement. Et vous devrez trouver un autre appareil pour assurer l’affichage de votre poste distant. Là encore, vous allez profiter de la modernité du poste virtuel dans le Cloud. Avec plusieurs options. Vous pouvez par exemple acheter un terminal compatible. Quel intérêt, alors qu’on vous a promis la fin du matériel ? Pour environ 400.- vous disposez d’un appareil dédié à cette tâche d’affichage, et donc très simple. Aucune maintenance nécessaire, une consommation électrique très faible (9 watts), et une durée de vie mesurée de 7 ans. Ca n’est plus du matériel, mais du consommable.

Ah! une dernière chose…

Autre possibilité, pour une utilisation ponctuelle (un intérimaire, un stagiaire) : laissez-le utiliser son propre ordinateur portable pour se connecter. Aucune donnée ne transite entre l’ordinateur physique et le bureau virtuel. Souvenez-vous, il ne s’agit que d’affichage qui arrive jusqu’à l’ordinateur. Les données restent sur le poste dans le Cloud. Et à ce stade, vous vous demanderez pourquoi votre stagiaire ne pourrait pas utiliser son poste depuis la maison puisqu’il se sert de son ordinateur personnel ? Le réponse est simple : rien. Le PC virtuel est l’allié naturel du télétravail et de la mobilité. Plus aucun document sur les portables des collaborateurs : vous ne craignez plus non plus les vols ou les pertes. Et encore moins les embouteillages.

Comme indiqué au début de ce post, vous n’avez pas à vous soucier du type d’appareil de vos collaborateurs. L’application chargée de l’affichage du poste fonctionne sur toutes les plateformes. Vous pouvez même vous connecter depuis votre tablette favorite, confortablement installé au fond de votre canapé. Alors, prêt à changer d’ère ? Le plus simple serait de vous en persuader par vous-même, avec un test. Ca tombe bien, nous offrons à nos clients la possibilité de tester nos postes virtuels Cloud pendant un mois. Gratuitement. Il vous suffit de nous contacter avec le formulaire ci-dessous. Vous verrez, vous allez regarder vos vieilles machines d’un autre œil.


En quelques années, le marché du Cloud pour les PME est devenu mature. Celles qui s’apprêtent à faire le choix de leur fournisseur jouent par nature la carte de la proximité. Elles sont tentées de se tourner vers des acteurs locaux, qui assurent aussi bien l’hébergement Cloud que l’exploitation. Mais le Cloud est vaste. Et faire ce choix risque de leur masquer quelques subtilités du marché. Alors qu’il est possible d’obtenir le meilleur des deux mondes.

Il y a encore 2 ou 3 années en arrière, parler de Cloud à une petite entreprise de Genève ou Lausanne revenait à entendre, assez souvent, la même question : où sont hébergées mes données ? Avec en filigrane le besoin rassurant de les conserver en Suisse. Si ce verrou tend à sauter un peu plus chaque jour (41% des patrons suisses n’y étaient plus attachés en 2016), le besoin de proximité ne s’est pourtant pas évaporé. Mais avec qui voulez-vous être proche finalement : vos données, ou celui qui les gère ?

Au mois d’avril dernier, la FINMA a ouvert la voie à un assouplissement de l’accès au Cloud pour les entreprises qui dépendent d’elles. Sorte de dernier bastion à tomber, cela facilite l’accès des banques et des assurances à l’infogérance et à des services Cloud hors de Suisse. Entre les lignes, on comprend le besoin qu’ont ces entreprises de gagner en compétitivité dans un contexte de concurrence accrue et d’échange de données facilité en Suisse.

Le vrai-faux débat sur la localisation des données

Les tenants de l’hébergement en Suisse défendent leur position en arguant d’une meilleure protection des données. Grâce notamment à la nécessité de faire appel à l’intervention de juges pour y accéder dans le cadre d’une procédure. Autre atout : la stabilité politique du pays. Si ces faits sont indéniables, il faut savoir que le reste de l’Union Européenne jouit peu ou prou des mêmes conditions.

Ayant eu le privilège d’être représentant d’un opérateur télécom auprès du DFPJ, je peux aussi confirmer que si les juges doivent être sollicités pour signer des demandes d’accès aux données, ils ne se privent pas pour le faire. Les demandes ont explosé aux débuts des années 2010.

Quant à la stabilité, Le Royaume-Uni ou l’Allemagne, grands pourvoyeurs d’hébergement Cloud, ne sont pas tout à fait des républiques bananières. Si ces avantages ont été de réels « plus » pour la Suisse, ils tendent à s’estomper avec le temps. Bien aidés par la moindre sensibilité des clients, qui utilisent iCloud, Dropbox et WeTransfer à tour de bras.

Peser tous les critères

La question n’est pas ici de déterminer si un Cloud en Suisse est plus sécuritaire qu’un Cloud hors des frontières. Car souvent, des critères subjectifs et arbitraires feront finalement pencher la balance. La question consiste plutôt à ne pas s’interdire de tout évaluer pour prendre la bonne décision. Et surtout, de distinguer l’hébergement (« où ») et l’exploitant (« qui »).

Vos données seront là où vous le désirez. Attardez-vous plutôt sur qui va les gérer.

Un exploitant qui vous emmènera exclusivement vers son propre Cloud sans vous proposer d’alternative doit vous mettre la puce à l’oreille. Les géants du Cloud vous assureront des niveaux de service (réels, et non pas contractuels) sur lesquels des acteurs de moindre importance ne pourront pas s’aligner. Rien ne vous empêche d’y aller, mais en connaissance de cause : vous devrez savoir quelle sera la contrepartie à ce choix (moindre fiabilité, fonctions limitées).

A la question de la localisation, nous avons plutôt pris le parti de répondre : où vous voulez ! Et d’ajouter : ne considérez pas uniquement ce critère. Votre choix doit être évalué selon 3 axes : le prix, la localisation, et les fonctionnalités. Nos partenaires hébergeurs Cloud se trouvent en Suisse, mais pas seulement. Certains sont chers, et d’autres moins. Certains offrent tous les services possibles et inimaginables, et d’autres ont une couverture fonctionnelle moindre.

Au final, c’est quoi le meilleur Cloud ?

Une société spécialisée dans le trading (un monde ouvert par nature) n’aura pas les mêmes contraintes qu’une fiduciaire ayant pignon sur rue sur la place de Genève. Une startup voudra accéder à ses données en mobilité, avec des fonctions avancées à moindre coût. Alors qu’une entreprise de déménagement aura des besoins bien plus simples. Autrement dit, si la localisation des données peut rester un enjeu, elle ne doit pas masquer la réalité. Ni l’évolution rapide du marché Cloud. Les autres critères de choix doivent donc être pesés avec autant d’attention.

Pour atteindre ce but, le plus simple est de décorréler le choix du prestataire de service – celui qui exploitera votre informatique – de celui de l’hébergement. Ce qui vous assurera une certaine neutralité lors du choix. Sans remettre en cause la proximité que vous recherchez. Nous avons pour habitude de dire : ne choisissez pas un Cloud, mais le meilleur Cloud pour vous, et l’expert qui va avec. Et si vous ne connaissez pas d’expert Cloud autour de vous, rien de grave. N’hésitez pas à nous envoyer vos coordonnées grâce au formulaire ci-dessous. On devrait arriver à vous trouver ça rapidement.


Pour la seconde année consécutive, Amazon Web Services, le leader mondial des solutions Cloud public, organise un événement dédié en Suisse Romande. Steel Blue aura le privilège d’y faire une intervention, en tant que partenaire et sponsor de l’événement. L’occasion unique d’en apprendre un peu plus sur les technologies Cloud AWS d’aujourd’hui et de demain.

Cet événement se tiendra le 12 juin 2018, à la Fédération des Entreprise Romandes de Genève. Les présentations se tiendront majoritairement en anglais. L’accès y est gratuit, mais l’inscription obligatoire. Inscrivez-vous dès maintenant car le nombre de places est limité.

La conférence sera scindée en deux thèmes :
– Main Track : venez comprendre les principes et fondamentaux du Cloud Amazon Web Services
– Special Track : découvrez comment les entreprises utilisent déjà le Cloud public AWS en Suisse
Consultez le programme complet ci-dessous.

Nous nous réjouissons de vous retrouver sur place.

 

Programme

09:00 – 10:00Check-in
10:00 – 10:15Welcome with Jim Fanning, AWS
10:15 – 10:45AWS state of the union with Jim Fanning, AWS
Main trackSpecial track
10:45 – 11:30AWS Basics (Matthias Imsand, amanox solutions) Artificial Intelligence & Machine Learning with AWS (Tasio Guevara – AWS Solution Architect)
11:30 – 12:30AWS Infrastructure – Part 1 (Horst Junker, amanox solutions) DevOps and CICD with AWS Code* Services (Mohamed Bouchenafa, Smartwave)
12:30 – 13:30Lunch
13:30 – 14:15AWS Infrastructure – Part 2 (Matthias Schnydrig, amanox solutions)AWSome migrations and operations in the Cloud (Emmanuel Dardaine, Steel Blue)
14:15 – 15:15Security, Identity und Access Management (Yann Le Blevec, Smartwave)Developing with Serverless Application Model (SAM) (Matthias Schnydrig, amanox solutions)
15:15 – 15:45Networking Break
15:45 – 16:45AWS Elasticity & Management ToolsIoT at the Edge with AWS Greengrass (Basho Kaminski, amanox solutions)
16:45 – 17:00Closing Note (Davide Gallo): Next Steps & Goodies
17:00 – 18:00Networking APERTO: Get to know the experts – Sponsored by ELCA

De plus en plus d’entreprises incitent aujourd’hui leurs employés à tendre vers le « zéro papier ». Elles deviennent de fait de plus en plus dépendantes de l’informatique.  L’objectif recherché est simple et louable : protection de l’environnement et centralisation de l’information. Mais le danger guette si on n’y prend pas garde.

L’ère numérique permet de tout mettre au format électronique et simplifie grandement les échanges. D’un autre côté, les risques de pertes de données informatique sont bien réels et de plus en plus présents. Votre politique de sauvegarde est donc un élément essentiel pour assurer la pérennité de vos données et de votre entreprise. On vous aide dans cet article à vous poser les bonnes questions et analyser votre situation.

Sauvegarde manuelle ou automatique, locale ou Cloud

La sauvegarde de votre serveur ou de votre NAS peut être réalisée de plusieurs manières. La plus courante (et certainement la moins efficace) consiste en une sauvegarde manuelle et locale. Bien trop souvent, nous voyons chez nos clients un disque dur externe posé sur le serveur. Avec de la chance ou de la clairvoyance, ce disque externe est parfois recopié sur un support à l’extérieur des bureaux. Et parfois, même pas.

Pour une sauvegarde efficace, ces backups en local et manuels sont à bannir. Un incident grave, comme une inondation, un incendie, ou tout simplement un ransomware sur votre réseau, peut provoquer la destruction complète de tous vos documents. Pour être efficace, une sauvegarde doit être réalisée régulièrement, systématiquement, et aussi exceptionnellement lors de modifications importantes.

N’oublions pas que les backups manuels impliquent un investissement important en temps, de la rigueur et sont finalement au bout de quelques mois négligées. Vous aurez bien compris, nous sommes un petit peu fâchés avec ce mode de sauvegarde.

Vous aimeriez connaître une voie d’amélioration simple, et peu coûteuse ? Il suffit d’automatiser vos backups avec un logiciel dédié. Ils sont devenus bon marché. Par exemple, l’achat d’une licence Cloudberry ne coûte que 119.- par serveur. Alors franchement, plus d’excuse : automatisez vos sauvegardes !

Le stockage des sauvegardes

Maintenant que la question du « comment » est adressée, reste la question du « ou ». L’espace de stockage de vos données de backup est très important. Il doit répondre à deux enjeux majeurs :

  • la fiabilité et la distance avec les données exploitées
  • la rapidité pour remettre en ligne les backups sur votre serveur ou votre NAS

Le lieu de stockage de vos données doit être suffisamment éloigné des données d’exploitation. Tout simplement pour éviter que les backups ne partent en fumée en même temps que les données source. Pour cela les solutions de stockage en ligne sont parfaites. La baisse des prix constante dans le Cloud vous permettra pour moins de 100.- par mois de bénéficier d’un espace de stockage de 1’000 GB.

Si vous avez plusieurs bureaux, un backup croisé entre vos sites peut-être aussi une bonne solution.
Cependant, vous devez vous assurer d’avoir une connexion Internet suffisante pour envoyer vos backups, mais aussi pour les récupérer rapidement en cas de besoin. Par exemple, une connexion 100/100Mbps vous permettra de télécharger en 24 heures 1 TB de données (soit 1’000GB). Une rapide règle de trois vous permettra d’estimer le temps nécessaire à la récupération de vos données.

Le plus important est de tester vos backups régulièrement, au moins une fois par an. Avoir des sauvegardes n’est rien : vous devez être sûr de savoir et pouvoir les remettre en ligne.

Si vous n’avez pas suffisamment de bande passante sur votre connexion, sachez qu’il existe des solutions permettant de redémarrer en quelques minutes votre serveur dans le Cloud. Vous aurez ainsi tout le temps nécessaire pour réinstaller une nouvelle machine ou de nouveaux disques dans vos bureaux.

Les modes de sauvegarde : complète, incrémentielle ou différentielle

La bonne pratique veut que l’on conserve au minimum 7 versions de backup. Vos besoins en espace de stockage risquent de devenir colossaux si l’entier de vos données est recopié à chaque sauvegarde.

Pour réduire les volumes de stockage, les ingénieurs informatiques ont créé différentes alternatives à ces backups complets, moins gourmandes en espace disque. Pour cela vous aurez le choix entre deux approches : sauvegarde différentielle ou incrémentale.

Qu’elle est la différence ? La méthode incrémentielle se base sur la sauvegarde du jour précédent. Et seules les différences des dernières 24 heures (fichiers ajoutés ou modifiés) sont poussées vers la sauvegarde. Au contraire, la sauvegarde différentielle se base sur le backup complet réalisé en général une fois à la fin de la semaine précédente.  Tous les backups journaliers vont alors venir se cumuler jusqu’à la nouvelle sauvegarde complète. Ca n’est toujours par clair ? Jetez un coup d’œil à cet article et ses infographies .

Au final, une sauvegarde incrémentielle demandera moins d’espace disque mais nécessitera plus de temps pour effectuer une restauration. C’est tout simplement l’inverse pour la méthode différentielle : plus d’espace disque consommé mais moins de temps pour restaurer les données. Ou autrement dit : le temps c’est (toujours) de l’argent.

Définir les bons réglages pour votre politique de backup

Vous vous posez encore des questions sur votre politique de backup ? Ça tombe bien, nous aussi nous avons des questions pour vous. Le plus important pour avoir une bonne politique de backup est de définir les bons réglages. Sinon votre solution de sauvegarde vous coûtera cher et ne répondra pas à vos exigences. Voici quelques pistes pour les définir.

Pendant combien de temps ma société peut-elle se passer de ses données ?

La réponse vous aidera à définir la durée maximale d’interruption admissible. Vous devrez alors trouver une solution qui vous permet de remettre les données à disposition de vos collaborateurs dans le temps imparti.

Combien d’heures de travail suis-je prêt à perdre ?

La réponse vous aidera à définir la fréquence à laquelle les backups devront être réalisés. Si vous êtes prêt par exemple à perdre une journée de travail, un backup par jour sera suffisant. Si vous visez moins, la fréquence des sauvegardes devra être réduite.

Combien de versions conserver ?

Vous aborderez ainsi le sujet de la rétention et vous saurez si un historique de 7 jours et suffisant pour votre activité.

Quels fichiers vais-je sauvegarder ?

Le backup d’un serveur de fichiers n’impose pas forcément les mêmes contraintes que la sauvegarde d’une base de données ou d’un serveur de messagerie. Les outils utilisés ne nécessiteront pas le même niveau de granularité. Le logiciel utilisé ne coûtera pas non plus le même prix.

Est-ce que mes documents sont des fichiers de travail ou plutôt des archives ?

La fréquence d’accès aux fichiers vous aidera à définir s’ils doivent être traités comme des documents d’archive ou non. Vous pourrez faire des économies, l’archivage étant relativement moins cher que le stockage de backup.

Ah ! une dernière chose, mais pas des moindres… Le plus important est de tester vos backups régulièrement, au moins une fois par an. Avoir des sauvegardes n’est rien : vous devez être sûr de savoir et pouvoir les remettre en ligne. Sinon elles sont tout bonnement inutiles. Pour faire une analogie, pensez à ces bonnes bouteilles que nous laissons à la cave en attendant qu’elle se bonifient. Comme avec ces bouteilles, votre backup pourrait bien aussi vous laisser un goût amer…

Tout ça vous paraît encore bien compliqué ? Et pourtant vous aimeriez dormir sur vos deux oreilles ? N’hésitez pas à nous contacter, nous maîtrisons le sujet et nous serons ravis de vous aider à définir votre politique de backup. Pour votre cave par contre, on ne peut rien pour vous…

Steel Blue : all inclusive, all right !


Depuis une décennie (déjà), le Cloud a révolutionné notre usage informatique. Les ressources sont massivement dématérialisées, leur accès est majoritairement mobile, et la facturation se fait à l’usage. Alors, on est reste là pour les 30 prochaines années ? Pas si sûr. L’ère du serverless arrive, et le futur se conjugue déjà au présent.

Chez Steel Blue, on est comme ça, on aime le Cloud. Et on aime surtout que nos clients bénéficient de tous ses avantages : flexibilité, agilité, prix, mobilité, robustesse. Pour autant, certains déploiements largement virtualisés restent assez classiques : des serveurs virtuels, sous Windows ou Linux, avec des disques d’une certaine capacité, et de la mémoire.

Attention, le Cloud a tout de même amené ce modèle à des niveaux de fiabilité et de fonctionnalité inconnus jusqu’alors, ou réservés aux multinationales : réplication géographique, coûts de stockage au ras des pâquerettes, capacité d’extension infinies, adaptation à la charge en temps réel. Certains géants ont bâti leur empire sur ces seules bases : AirB’n’B, Netflix, Dropbox. Une vraie révolution, ancrée pour longtemps dans la culture informatique des entreprises, grandes ou petites.

Le serveur Cloud : un modèle déjà ancien

Si l’on regarde le passé, même récent, les bouleversements en informatique ont eu tendance à s’installer dans le temps : Windows est toujours là, Internet aussi, et les ordinateurs personnels ne sont pas encore morts. Des modèles apparus il y a plusieurs dizaines d’années. Pourant, le Cloud tel qu’on le connaît aujourd’hui pourrait n’avoir été qu’une étape. Une sorte de préparation à une autre révolution, plus profonde encore : le serverless.

Si la dématérialisation informatique vous a permis d’éloigner définitivement vos vieilles machines poussiéreuses de vos locaux, le serverless – littéralement l’informatique sans serveur – pourrait bousculer la façon de concevoir les services informatiques. Prenons un exemple : vous aviez hier un serveur eCommerce avec sa base de données. Le temps et les affaires aidant, il a fallu augmenter la capacité de votre machine, pour qu’elle puisse suivre la cadence.

Une fois ce modèle épuisé, vous êtes passé au serveur Cloud : plus de matériel, et une capacité à grandir rapidement et à moindre coût, tout en augmentant la fiabilité. Petit plus : vous pouvez absorber les pics de trafic, le Black Friday par exemple, sans devoir anticiper particulièrement ou doubler votre budget : le Cloud vous offre le confort de la géométrie variable au prix le plus juste. Mais côté cour, la logique reste la même : il s’agit de serveurs, avec de la mémoire, des disques, et des processeurs (i.e. de la capacité de traitement).

Serverless : dimensionnez vos services, pas vos serveurs

Le serverless, lui, vous permet de vous affranchir de ces contraintes de dimensionnement. Vous ne souscrirez plus la location d’un certain nombre de serveurs, mais de la capacité de traitement brut. Votre base de données eCommerce ne vous coûtera plus pour sa puissance ou sa taille, mais bel et bien pour sa possibilité de traiter un certain nombre de requêtes par seconde, quelle que soit sa taille.

Ce que ça change ? Tout ! Prenons un exemple tout simple : un lave-linge. Son dimensionnement basique est lié à sa capacité. Mais parfois, il n’est pas plein, et parfois, il faut faire 2 machines de suite. Est-ce qu’il ne serait pas plus simple de ne payer que pour le nombre de machines que vous faites et le type de cycle, peu importe leur volume ? C’est un peu simpliste, mais c’est exactement cela le serverless. Avec l’avantage supplémentaire de ne pas avoir à entretenir ni même acheter le lave-linge… on est dans le Cloud !

Pour Netflix, encoder un film doit avoir un coût fixe, quels que soient sa longueur et son format. L’informatique serverless permet d’atteindre ce but.

Il est donc aujourd’hui possible de déployer des applications serverless sans se soucier de la machinerie. Et de ne payer que le moteur d’exécution, avec une garantie de traitement dans le temps. Les systèmes serverless sont d’ores et déjà nombreux : bases de données consommées au nombre de requêtes mais sans limite de taille, moteurs d’envoi et de réception d’emails, processus de traitement de données en lots, systèmes de gestion d’événements permettant de coordonner des processus entre eux, etc…

Des exemples concrets

Ca reste flou ? Prenons l’exemple de Netflix. Un nouveau film est ajouté au catalogue, et il faut l’encoder dans plusieurs formats, adaptés aux différents supports (TV, mobile). Or l’encodage pour le mobile prendra peut-être 2 fois plus de temps ou de puissance, et un film court sera traité plus rapidement qu’un film long. Mais, pour Netflix, le prix de location du film reste le même, quel que soit le support utilisé, et quel que soit la longueur du film. Il est donc primordial de disposer d’un coût de traitement unique qui ne soit pas associé à l’effort de traitement. La viabilité du modèle économique en dépend.

Plus près de nous, certaines applications de traitement de données volumineuses – dans la banque et la finance par exemple – migreront rapidement vers le modèle serverless. L’élément dimensionnant restera pour ces industries la capacité à traiter des volumes toujours plus importants de données dans un laps de temps fixe. Afin de disposer de données pertinentes à l’instant t, et surtout pas le lendemain quand il sera trop tard. Là encore, c’est une question de survie.

L’avenir proche risque donc de voir émerger de nouveaux modèles informatiques, et de nouveaux types d’applications, se reposant entièrement sur le modèle serverless. Le paiement à l’usage se renforcera et deviendra la norme. En attendant de passer au serverless, vous pouvez déjà entamer votre cheminement dans le Cloud en commençant simplement par la dématérialisation de votre informatique. Vous aurez déjà franchi un premier cap. Et si jamais le serverless a suscité de la curiosité chez vous, cliquez donc ici pour nous envoyer un message. Nous nous ferons un plaisir de venir discuter d’avenir avec vous.

Steel Blue : all inclusive, all right !


Tiens, votre serveur s’est arrêté ce matin. Rien de grave, cela lui arrive de temps en temps. Sauf que ce matin, c’est plus sérieux. Les disques de stockage de votre précieuse machine sont en panne. Et la redémarrer n’y changera rien. D’ailleurs elle ne redémarre pas. Dommage, car votre serveur héberge votre application critique ou les données sans lesquelles vous ne pouvez pas travailler. Aïe, ça pique…

Vous aviez bien entendu parler de l’achat d’un serveur de secours. Mais ça vous semblait coûteux et compliqué. La bonne nouvelle, c’est que vous avez mis en place un backup Cloud (de préférence). C’est déjà ça. Néanmoins il ne s’agit plus aujourd’hui de simplement remettre en ligne quelques fichiers. Mais bel et bien de reconstruire une machine complète, avec son système d’exploitation. Et en ordre de marche de préférence. Alors que vous comptiez dessus pour saisir des données importantes ou finaliser un projet avant la fin de la semaine. On dirait que les choses se compliquent.

Serveur Cloud : simple comme une image

Si votre machine avait déjà été dans le Cloud, les choses auraient été plus simples. Mais avec des si… On ne va pas refaire le match, non ? Vous n’êtes pas encore passé au Cloud, et vous avez vos (bonnes) raisons : vous préférez garder pour le moment vos serveurs chez vous, ou alors vous êtes contraint de travailler avec des serveurs dédiés, par exemple. Tout n’est pas perdu pour autant : vous pouvez tout de même profiter du Cloud pour remonter votre niveau de fiabilité. Comment ? En déployant un plan de reprise d’activité (PRA, DRP en anglais) et un serveur Cloud de secours. On vous dit comment.

Première étape, procéder à une image Cloud de la machine. Si vos sauvegardes Cloud fonctionnent avec Cloudberry, bonne pioche ! Ce logiciel offre cette option depuis plusieurs mois. Pour réduire le volume, ne sauvegardez que les partitions du système d’exploitation. Cela ne nécessitera que quelques GB : coûts réduits sur le stockage Cloud, et trafic limité pour la copie. Et surtout, recommencez l’opération tous les jours, histoire de ne pas mettre de côté une machine hors d’âge. Les sauvegardes suivantes ne remontent que les blocs de données qui ont été modifiés, et donc l’effort est alors insignifiant.

le B-A-BA : préparer votre plan de reprise d’activité

Une fois votre machine au chaud, procédez une première fois à sa remise en ligne. C’est simple, vous pouvez tout piloter depuis Cloudberry : sélection de la « taille » de la machine, choix du type de système, et du réseau Cloud sur lequel l’installer. Il n’y a plus qu’à cliquer sur le bouton magique. En quelques minutes, votre machine virtuelle sera créée, dans un état à l’identique de votre dernière sauvegarde : les applications sont là, avec toutes leurs configurations. Pour parachever votre test, vous devrez donner l’accès à la machine à vos collaborateurs. Soit avec un VPN, soit avec des règles de filtrage IP strictes. Une fois que vous avez accès à la machine, votre test est concluant, et il s’arrête là.

5 minutes et quelques francs : c’est tout ce que vous coûtera votre machine de secours. Pas mal comme bouée de sauvetage de votre PME.

Vient le jour J (qu’on ne vous souhaite pas évidemment). Le fameux matin où votre machine s’enrhume. Et au lieu de suer sang et eau, vous êtes à l’aise : vous savez que vous disposez d’une image fiable, et vous connaissez la procédure pour exécuter votre plan de reprise. Evidemment, le vrai confort consistera à confier ces tâches à un expert en la matière. Vous vous concentrez sur la gestion de crise interne, et vous nous laissez remonter votre serveur. Histoire de redémarrer votre machine en quelques dizaines de minutes, montre en main.

Ok, mais ça coûte quoi au juste une solution de DRP Cloud ?

D’un point de vue financier, sauvegarder les partitions du système d’exploitation ne demandera que quelques dizaines de GigaOctets. Comptez 45.- pour 100GB, ce qui fera probablement l’affaire. Et pour le serveur de secours ? C’est simple : rien. Tant que vous ne l’activez pas, vous ne faites que stocker son image dans vos 100GB. Il ne vous coûtera qu’au moment de son utilisation. Pour un dimensionnement standard (2vCPU, 4GB de RAM), on parle de quelques centaines de francs par mois complet. Mais avec un paiement à l’usage, au jour le jour. Management compris. Ajoutez à cela les frais de main d’oeuvre pour la mise en ligne, et vous aurez fait le tour de la question des coûts. On ne vous parle évidemment pas de la cerise sur le gâteau : le stress en moins, et l’économie des pertes d’exploitation.

Finalement, bénéficier d’un plan de reprise d’activité n’est plus réservé aux multinationales. Les coûts de stockage et d’exécution de serveur de secours dans le Cloud mettent le DRP à la portée des plus petites structures. Si votre curiosité est piquée, on ne saurait que trop vous conseiller de jeter un oeil à la description de notre produit Steel Recovery : dédié aux PME, il met en oeuvre tout ce qui a été décrit plus haut pour assurer la continuité de votre activité. Et comme les actes valent mieux que les paroles, on vous propose de faire un test à nos frais. C’est simple, il suffit de rentrer votre adresse email dans le formulaire ci-dessous.

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La nouvelle avait fait sensation : une recherche Google consomme l’énergie nécessaire à faire chauffer une bouilloire. Mais l’informatique mondiale ne consomme finalement pas tant que ça. Les vertus du Green IT se trouvent ailleurs. Explications.

Les émissions de CO2 générées par les Technologies de l’Information et de la Communication représentent environ 2% de la pollution mondiale. Si l’on s’attarde sur les pays les plus accrocs aux nouvelles technologies (Etats-Unis, Japon, Europe), le pourcentage sera plutôt de l’ordre de 5 à 6 %.

Cette proportion est finalement faible, et même si cette consommation électrique deviendra rapidement un enjeu, le véritable problème écologique de l’informatique se trouve ailleurs : au niveau du recyclage des composants qui forment nos serveurs et nos ordinateurs. En 2016, seulement 20% de ces composants ont été collectés et recyclés. Et ils sont constitués de nombreux produits chimiques dangereux : cadmium, plomb, béryllium, mercure, chrome hexavalent… qui finissent dans la nature.

Les solutions Cloud à la rescousse de la planète

Pour adresser à la fois la question du recyclage et celle de la maîtrise énergétique, ni une ni deux : l’externalisation de votre informatique constitue la voie royale. Voyons comment dans le détail.

Commençons par vos serveurs : la consommation électrique et la production de froid pour leur maintien dans vos bureaux rerpésente énormément d’énergie (comptez environ 500 W par machine). Si l’on ajoute à cela le taux moyen d’utilisation d’un serveur à domicile (15 % en moyenne), on comprend ce que gaspillage signifie.

En passant dans le Cloud, on réduit grandement le nombre de serveurs nécessaires et on évite la surconsommation. Le taux d’utilisation moyen d’un serveur passe alors de 15% à 65 %.

Les récalcitrants opposeront à cette démarche la sécurité des données et les risques associés. Faisons l’analogie avec votre trésorerie. Vous ne la laissez plus dans un coffre-fort au fin fond de votre bureau, non ? Faites de même avec vos données, elle seront plus en sécurité dans le Cloud !

Allons encore un peu plus loin : les grands centres de données (Amazon, Azure) de par leur conception énergétique et le choix de leurs équipements sont 29 % moins énergivores que les datacenters locaux. Et certains grands hébergeurs comme Amazon mettent en place des fermes d’énergie renouvelable (panneaux solaires et éoliennes). Amazon possède déjà des datacenters « zéro émissions carbone » (à Francfort et en Irlande pour les plus proches). Le calcul du Green IT est vite fait !

Mettez vos ordinateurs et votre réseau informatique au Green IT

Parlons aussi des équipements de bureautique. Savez-vous que votre ordinateur de bureau consomme environ 150 watts. Pour une durée de vie moyenne de 3 à 4 ans. Dans les faits, comptez 25.- d’électricité par mois pour une machine allumée en permanence. Une bonne alternative consiste à passer par un poste virtuel.
Les terminaux de nos bureaux virtuels consomment 10 watts et ont une durée de vie de 7 ans ! Et on ne parle même pas des fonctionnalités supplémentaires offertes par ces ordinateurs dématérialisés : sauvegarde quotidienne, flexibilité, évolutivité.

Attardons-nous maintenant sur le câble réseau branché sur la plupart des équipements de votre bureau. Y-a-t-il à l’autre bout du câble un équipement POE (Power Over Ethernet) ? Il n’est plus nécessaire d’alimenter tous vos appareils via une prise électrique. Votre réseau informatique peut s’en charger pour de nombreux équipements (antennes WiFi professionnelles ou téléphones IP). De tels équipements POE embarquent des solutions de gestion d’énergie avancée qui feront baisser votre consommation électrique.

La téléphonie ? Des solutions existent

Prêt à réduire un peu plus votre empreinte écologique ? Facile, attaquons-nous ensemble à vos téléphones et fax. Votre central téléphonique est à bout de souffle et vous n’avez pas encore fait le pas vers la VoIP. Dépêchez-vous, car le couperet va bientôt tomber. Et surtout, pensez à dématérialiser lors de ce changement. Les solutions de central téléphonique virtuel sont aujourd’hui très abouties et très fiables. Et ça sera encore un peu d’énergie économisée.

Vous avez aussi un fax poussiéreux au coin de votre bureau qui consomme de l’électricité, du papier pour recevoir uniquement de la publicité ? Optez pour une solution « fax to mail / mail to fax ». Vous recevrez toutes vos télécopies directement dans votre boîte de messagerie et un simple envoi de mail suffira pour expédier un fax. Vous ferez du bien à la planète et vous gagnerez de la place dans votre bureau.

Alors passez vite au Green IT, c’est bon pour la planète et bon pour votre facture électrique. Et si vous avez envie d’adhérer à l’informatique verte et de réduire votre empreinte carbone, avec nos solutions Cloud, nous sommes à votre disposition pour vous aider à faire fondre vos kilowatts en watts.

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Virtualiser son poste de travail est aujourd’hui facile. Changer de modèle économique, un peu moins : passer à la location mensuelle et comprendre le coût d’un ordinateur nécessite d’adapter son mode de pensée. Et de considérer absolument toutes les dépenses. Mais comme chez Steel Blue on maîtrise cet exercice, on a fait le calcul pour vous. A vos bouliers !

Le réflexe est toujours le même lorsqu’on présente un poste virtuel à un de nos clients : il compare son prix d’achat habituel, qu’il divise par le prix de la location. Et conclut qu’au bout de 12 mois, il commence à trop payer. Evidemment, c’est un raccourci, car l’ensemble des charges de son PC ne sont pas prises en compte. Avec le temps, nous avons mis au point des outils qui permettent de faire une comparaison objective. On vous en livre les détails, histoire de déconstruire le mythe du PC pas cher.

Commençons par le commencement : on ne s’attardera que sur le monde PC/Windows. Tout simplement parce qu’il n’y a pas de solution d’entreprise pour virtualiser un Mac. Et les amateurs de la Pomme sont amoureux de leurs machines (on les comprend), ce qui n’incite pas Apple à les rendre virtuelles.

Autre hypothèse : les tarifs mentionnés ici sont ceux que nous constatons chez nos clients, et qui correspondent à des gammes professionnelles. Vous trouverez toujours un ordinateur à (plus) bas coût, mais on s’éloignera alors de l’objectivité de la comparaison. Et si vos coûts varient par rapport à nos chiffres, dites-le nous et on refera la calcul pour vous. Enfin, on se place dans un contexte PME, c’est-à-dire un parc allant de quelques machines à 50 postes.

Coût d’un ordinateur : le diable se cache dans les détails

Passons donc à l’inventaire du coût de votre ordinateur. Il se répartit en deux catégories : les coûts uniques (l’achat et la mise en service) et les coûts d’exploitation. Concentrons-nous sur l’investissement intial. Un PC pro digne de ce nom dans un format standard chez un grand constructeur vous coûtera environ 1’000.-. Ajoutez à cela la licence Windows 10 Pro (indispensable pour gérer votre machine en réseau), pour 300.-.

Idéalement, vous ajouterez encore un contrat de maintenance, histoire d’avoir un technicien chez vous rapidement avec les pièces de rechange en cas de casse. Ajoutez 200.- (et si vous ne le faites pas, vous paierez plus tard déplacement et intervention à l’acte pour plus cher).

X centimes le kW/h se transforment en X francs à la fin du mois. Pour 150W, 24 heures sur 24.

Une fois que vous avez acheté votre machine, il faut la mettre en service : déplacement dans vos bureaux, installation, connexion au réseau, démarrage, configuration. N’espérez pas moins de 2 heures pour cette opération. Entre le déplacement et le temps de travail, comptez donc 400.-. Là encore les coûts peuvent varier et dépasser ce seuil, notamment si votre machine nécessite de nombreux logiciels et une configuration un peu pointue.

Les plus techniques diront : « il est possible d’automatiser cela ». C’est juste. Mais pour un coût qui n’est pas négligeable, et que les petites entreprises ne peuvent s’offrir pour leur parc de PC physiques. On laisse de côté les logiciels applicatifs (Office ou vos logiciels métier), car le coût sera le même si l’ordinateur est virtuel.

Le compteur tourne

Bien. Maintenant que votre machine tourne, c’est là que tout commence. Car à peine le bouton « on » appuyé, elle vous coûte. En électricité tout d’abord. Une machine au format tour dispose d’une alimentation de plusieurs centaines de watts, qu’elle ne consomme pas entièrement heureusement. La consommation est variable dans la journée. Surtout, elle s’étend généralement la nuit, car les collaborateurs « oublient » d’éteindre leur poste.

Nous considérons habituellement une consommation moyenne de 150W. Pourquoi cette valeur ? Parce qu’elle a la double avantage de coller à la réalité et de fournir un moyen de calcul mnémotechnique : si votre kW/h vous coûte X centimes, 150W en 24/7, c’est X francs à la fin du mois. Dans les faits, un PC vous coûtera en courant 25.- par mois.

La mise en service vous coûtera 1’900.-. Mais quid de l’exploitation ?

Ca ne s’arrête évidemment pas là. Votre chère bécane (au propre comme au figuré) nécessite de l’entretien. Un peu de main d’oeuvre tous les mois, pour s’assurer que tout va bien, que l’antivirus est à jour. Et encore un peu plus pour fournir de l’assistance aux utilisateurs. Chez nos clients, nous constatons généralement 2 heures par an et par machine. On parle de 10 minutes par mois et par poste, ce qui est faible.

Mais partons sur ces bases. Avec un peu de déplacement dans l’année, comptons 350.- /an. Et parce que la vie d’un PC n’est pas un long fleuve tranquille, comptons encore 150.- de pièces et réparation sur les 3 années d’amortissement de la machine.

L’heure des comptes

Il est temps de sortir la calculette. Votre investissement se monte finalement à 1’900.-. Et l’exploitation sur 3 ans… 2’100.- ! Surprise, non ? En lissant ce coût sur 3 années, on obtient environ 110.- /mois. C’est cette valeur qu’il faut garder en tête. On est en tout cas bien loin des 1’000.- d’achat uniques. A ce moment de l’article, vous salivez d’avance de savoir combien peut coûter un poste virtuel.

Chez Steel Blue, notre gamme commence à 69.- par mois. Mais pour ce prix, le service n’est pas tout inclus, et il s’agit d’une entrée de gamme, parfaite pour un usage ponctuel. Non, regardons plutôt une machine comparable à un PC standard, en milieu de gamme avec 2 processeurs (de serveur) virtuels, et 4 GB de RAM.

Sur 3 années, cette machine vous reviendra à 98.10 par mois. Et le service ? Pour ce prix, tout est inclus : support, maintenance, mises à jour, reporting, documentation. Tout. Avec donc l’avantage de savoir exactement ce que vous allez payer, et de ne pas avoir de surprise en fin d’année avec un budget dépassé.

Un PC, avec quelques trucs en plus

Et comme on est dans le Cloud, le poste virtuel prend définitivement l’avantage avec quelques caractéristiques bien à lui. La mobilité tout d’abord : vous accédez à votre poste depuis n’importe quel terminal. Même l’ordinateur ou la tablette de la maison. La mise en service ne sera facturée qu’une demi-heure, car nous établissons des machines types, que nous pouvons déployer à la volée. Pour atteindre le top de l’agilité.

Les données locales du poste sont sauvegardées toutes les 12 heures, sans surcoût. Enfin, votre poste vous sera livré avec un logiciel collaboratif de partage et de synchronisation de fichiers, pour le même prix. Et si jamais vous n’avez plus besoin d’une machine, nous la supprimons, et vous ne restez pas avec du matériel sur les bras.

Maintenant que vous avez toutes les cartes en main, vous êtes prêt pour prendre la bonne décision. Racheter des machines ou bien dématérialiser votre parc de PC. Vous savez déjà où va notre préférence. Mais les chiffres parlent d’eux-mêmes, et on n’est plus dans le fantasme ou les a-priori. Si jamais la dématérialisation vous démange, prenez contact avec nous avec le formulaire ci-dessous. Nous finirons de vous convaincre avec un test gratuit d’un mois. Encore un des avantages du poste virtuel dans le Cloud.

Steel Blue : all inclusive, all right !

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