Comment activer un serveur de secours à moindre frais et en 5 minutes chrono
Tiens, votre serveur s’est arrêté ce matin. Rien de grave, cela lui arrive de temps en temps. Sauf que ce matin, c’est plus sérieux. Les disques de stockage de votre précieuse machine sont en panne. Et la redémarrer n’y changera rien. D’ailleurs elle ne redémarre pas. Dommage, car votre serveur héberge votre application critique ou les données sans lesquelles vous ne pouvez pas travailler. Aïe, ça pique…
Vous aviez bien entendu parler de l’achat d’un serveur de secours. Mais ça vous semblait coûteux et compliqué. La bonne nouvelle, c’est que vous avez mis en place un backup Cloud (de préférence). C’est déjà ça. Néanmoins il ne s’agit plus aujourd’hui de simplement remettre en ligne quelques fichiers. Mais bel et bien de reconstruire une machine complète, avec son système d’exploitation. Et en ordre de marche de préférence. Alors que vous comptiez dessus pour saisir des données importantes ou finaliser un projet avant la fin de la semaine. On dirait que les choses se compliquent.
Serveur Cloud : simple comme une image
Si votre machine avait déjà été dans le Cloud, les choses auraient été plus simples. Mais avec des si… On ne va pas refaire le match, non ? Vous n’êtes pas encore passé au Cloud, et vous avez vos (bonnes) raisons : vous préférez garder pour le moment vos serveurs chez vous, ou alors vous êtes contraint de travailler avec des serveurs dédiés, par exemple. Tout n’est pas perdu pour autant : vous pouvez tout de même profiter du Cloud pour remonter votre niveau de fiabilité. Comment ? En déployant un plan de reprise d’activité (PRA, DRP en anglais) et un serveur Cloud de secours. On vous dit comment.
Première étape, procéder à une image Cloud de la machine. Si vos sauvegardes Cloud fonctionnent avec Cloudberry, bonne pioche ! Ce logiciel offre cette option depuis plusieurs mois. Pour réduire le volume, ne sauvegardez que les partitions du système d’exploitation. Cela ne nécessitera que quelques GB : coûts réduits sur le stockage Cloud, et trafic limité pour la copie. Et surtout, recommencez l’opération tous les jours, histoire de ne pas mettre de côté une machine hors d’âge. Les sauvegardes suivantes ne remontent que les blocs de données qui ont été modifiés, et donc l’effort est alors insignifiant.
le B-A-BA : préparer votre plan de reprise d’activité
Une fois votre machine au chaud, procédez une première fois à sa remise en ligne. C’est simple, vous pouvez tout piloter depuis Cloudberry : sélection de la « taille » de la machine, choix du type de système, et du réseau Cloud sur lequel l’installer. Il n’y a plus qu’à cliquer sur le bouton magique. En quelques minutes, votre machine virtuelle sera créée, dans un état à l’identique de votre dernière sauvegarde : les applications sont là, avec toutes leurs configurations. Pour parachever votre test, vous devrez donner l’accès à la machine à vos collaborateurs. Soit avec un VPN, soit avec des règles de filtrage IP strictes. Une fois que vous avez accès à la machine, votre test est concluant, et il s’arrête là.
5 minutes et quelques francs : c’est tout ce que vous coûtera votre machine de secours. Pas mal comme bouée de sauvetage de votre PME.
Vient le jour J (qu’on ne vous souhaite pas évidemment). Le fameux matin où votre machine s’enrhume. Et au lieu de suer sang et eau, vous êtes à l’aise : vous savez que vous disposez d’une image fiable, et vous connaissez la procédure pour exécuter votre plan de reprise. Evidemment, le vrai confort consistera à confier ces tâches à un expert en la matière. Vous vous concentrez sur la gestion de crise interne, et vous nous laissez remonter votre serveur. Histoire de redémarrer votre machine en quelques dizaines de minutes, montre en main.
Ok, mais ça coûte quoi au juste une solution de DRP Cloud ?
D’un point de vue financier, sauvegarder les partitions du système d’exploitation ne demandera que quelques dizaines de GigaOctets. Comptez 45.- pour 100GB, ce qui fera probablement l’affaire. Et pour le serveur de secours ? C’est simple : rien. Tant que vous ne l’activez pas, vous ne faites que stocker son image dans vos 100GB. Il ne vous coûtera qu’au moment de son utilisation. Pour un dimensionnement standard (2vCPU, 4GB de RAM), on parle de quelques centaines de francs par mois complet. Mais avec un paiement à l’usage, au jour le jour. Management compris. Ajoutez à cela les frais de main d’oeuvre pour la mise en ligne, et vous aurez fait le tour de la question des coûts. On ne vous parle évidemment pas de la cerise sur le gâteau : le stress en moins, et l’économie des pertes d’exploitation.
Finalement, bénéficier d’un plan de reprise d’activité n’est plus réservé aux multinationales. Les coûts de stockage et d’exécution de serveur de secours dans le Cloud mettent le DRP à la portée des plus petites structures. Si votre curiosité est piquée, on ne saurait que trop vous conseiller de jeter un oeil à la description de notre produit Steel Recovery : dédié aux PME, il met en oeuvre tout ce qui a été décrit plus haut pour assurer la continuité de votre activité. Et comme les actes valent mieux que les paroles, on vous propose de faire un test à nos frais. C’est simple, il suffit de rentrer votre adresse email dans le formulaire ci-dessous.
Steel Blue : all inclusive, all right !
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