La dématérialisation a envahi nos usages personnels. Livres, films, musique sont désormais consommés sur des supports digitaux, depuis Internet. Mais en entreprise, virtualiser son informatique et la louer dans le Cloud n’est pas encore un réflexe évident. Les réticences mises en avant par les dirigeants sont nombreuses : difficulté, coût, inertie. Plus pour longtemps, chiffres à l’appui.

Une récente étude a démontré que la perception d’une migration Cloud change radicalement au cours du temps, et au long de cette transition. Une large majorité – 91% – des sociétés qui sont déjà engagées à au moins 25% dans la transformation estiment qu’elle est peu difficile voire facile. Parmi ces primo-adoptants, 61% estiment que leur passage au Cloud prendra moins de 2 années, quand ceux qui n’ont pas encore démarré leur projet Cloud sont 39% à penser qu’il prendra 4 années au moins.

Commencer simple, faire vite

Passé donc l’apriori de la difficulté, externaliser dans le Cloud s’avère plus facile qu’attendu. Il est donc grand temps d’envisager de ne plus remplacer vos vielles machines. Reste tout de même à franchir le pas, et se lancer, pour le vérifier par vous-même. C’est là qu’adopter la bonne stratégie peut vous faire gagner un temps fou.

Mettre toute les chances de son côté dans cette première étape, cela revient à démarrer avec un produit simple, peu intrusif envers votre infrastructure existante, et rapide à mettre en place. Le backup Cloud est le candidat idéal : compatible avec tous les matériels existants, bon marché, flexible. Elle permet de sécuriser vos données dans le nuage… et vous rassurer. Elle remplace avantageusement vos lecteurs de bande poussifs ou vos disques externes peu fiables. Autre avantage, elle génère une dynamique et vous donne confiance.

Diviser pour mieux régner

Il ne faut évidemment pas vous arrêter en si bon chemin. Mais comment s’organiser pour continuer ? Comme dans tout projet d’envergure, il convient de le découper en morceaux et de les traiter les uns après les autres. Vous éviterez de faire face à une montagne. Applications, stockage, messagerie, postes de travail : vous avez le choix. Et surtout, vous aurez tout loisir de modifier votre approche en cours de route : si un de vos équipements donne des signes de faiblesse, replacez-le en tête de liste des candidats à l’externalisation.

Il n’y a plus aujourd’hui de raison objective pour continuer à investir dans du matériel informatique

De manière générale, la vétusté de vos équipements informatiques devrait guider l’ordre des remplacements. Le cycle de renouvellement de vos licences peut également servir de ligne directrice. Et si vous manquez de visibilité ou de confiance pour déterminer cet ordre, demandez de l’aide. Un expert Cloud pourra vous aider à définir le plan qui vous conviendra le mieux.

Insuffler un vent nouveau

Dernier conseil : maintenant que tout est sur les rails, n’oubliez pas d’impliquer le « métier ». Car, en plus de valider le bien fondé de votre transition Cloud, ils pourront aussi vous aider à en tirer le meilleur parti. Confrontés en permanence aux enjeux de votre activité, ils savent déjà de quelles améliorations vos outils ont besoin. Ainsi, vous pourrez faire coup double : externaliser dans le Cloud, mais surtout en profiter pour gagner en efficacité et productivité. Leurs conseils pourront vous amener à changer encore les priorités de votre feuille de route. Ce qui en soit n’est pas un souci : la consommation de ressources « à la demande » dans le Cloud vous donne la flexibilité nécessaire, et protège naturellement votre trésorerie.

Vous l’avez compris, il n’y a plus de raison objective pour continuer à investir dans du matériel informatique. Votre transformation Cloud vous attend, et vous êtes prêts à adopter une approche « Cloud first », à casser les habitudes, sans prendre nécessairement de risque. Et surtout abandonner définitivement le renouvellement de parc informatique à l’infini. On parie que vous êtes prêts ? Demandez-nous de passer vous voir en laissant votre adresse email ci-dessous pour évaluer votre situation, et vous confirmer que c’est le cas. Nous sommes là pour vous aider à faire le premier pas, le seul qui coûte vraiment.

Steel Blue : all inclusive, all right !

Vous aimeriez découvrir les outils de l’entreprise digitale ? Vous souhaitez savoir comment la numérisation peut améliorer votre productivité et votre façon d’interagir avec vos clients ?

Nous sommes particulièrement heureux de vous inviter au Workshop Microsoft Customer Immersion sur le thème de la productivité le 19 mai 2017. La technologie peut être le facteur clé pour faire avancer votre entreprise et vous aider à vous démarquer de la concurrence.

Accompagnés par les animateurs Microsoft, sur un environnement de démonstration local, vous effectuez des tâches concrètes de votre quotidien professionnel et apprenez comment les solutions Microsoft peuvent contribuer à accroître votre productivité.

Ce Workshop se tiendra au siège de Microsoft à Vernier, de 08:00 à 12:15. Il s’adresse aux responsables et leurs équipes inter-départements. Il s’agit d’un événement exclusif, entièrement gratuit, réservé aux clients et contacts Steel Blue. Le nombre de places est limité, afin de profiter pleinement des experts Microsoft : inscrivez-vous dès maintenant sur lien ci-dessous.

Agenda

08:00: Arrivée et inscription

08:30: Brève présentation du concept Microsoft « New World of Work » (NWOW)

09:00: Experience Workshop « Comme nous travaillons aujourd’hui » – Parmi les scénarios présentés vous découvrirez notamment

Scénario 1: Travail mobile

  • Comment je peux avoir accès aux informations commerciales en déplacement
  • Nouvelles options de communication avec Skype

Scénario 2 : Collaboration productive

  • Comment se présente le nouvel Office
  • Comment puis-je organiser mes rendez-vous
  • Possibilités d’organisation avec Intranet et sites d’équipe
  • Travail collaboratif et partage de documents
  • Utiliser Yammer comme instrument de communication externe
  • Le nouveau carnet de notes « OneNote »

Scénario 3 : Protection des données et sécurité

  • Comment puis-je protéger les appareils mobiles

11:45:  échange et Q&A

Nous nous réjouissons de pouvoir compter sur votre participation !

Si virtualiser ses fonds est devenu la norme pour les petites entreprises, en faire autant avec son informatique reste une pratique minoritaire. Car même si les patrons romands sont conscients du risque, ils pêchent parfois par défaut d’information. Pour répondre à deux questions simples : pourquoi et comment. Eléments de réponse.

Quel entrepreneur conserverait se trésorerie au fond d’un coffre dans ses locaux ? A de rares exceptions, aucun. Avec la numérisation de l’économie, les données informatiques sont devenues un bien inestimable des PME. Et pourtant, elle restent enfore confinées dans des serveurs, hébergés dans les locaux de l’entreprise. Vous savez, dans la petite salle du fond. Probablement à la place de l’ancien coffre fort. Alors que confier son argent – virtuel – à une banque est un réflexe naturel, il reste encore du chemin à faire côté informatique. Les bonnes raisons de reculer ne manquent pas. Heureusement, les solutions non plus.

Et si vous arrêtiez de jouer avec le feu ?

Au pays de l’industrie bancaire, certaines habitudes sont en effet tenaces. Alors que nos flux de trésorerie sont entièrement dématérialisés, l’informatique a parfois pris du retard. Beaucoup de retard. La majorité des visites chetz les clients amènent au même constat : un petit disque dur USB planté sur un serveur de fichiers. Histoire d’avoir une copie. La couche de poussière sur ce disque indique qu’il n’est que rarement sorti à l’extérieur des locaux. Preuve que les données informatiques sont en danger. Vous vous reconnaissez ?

8’000.- CHF : c’est le coût moyen d’une perte de données pour une PME

Au delà du simple vol, risque comparable à celui que vous courriez avec votre coffre, vos données ne sont pas non plus à l’abri d’un incendie, d’un dégât des eaux, ou tout simplement d’une défaillance du matériel. Adieu alors les années d’archive. Et bonjour les pertes d’exploitation, aux coûts exorbitants. Comme 5% des PME qui subissent une perte de données chaque année, vous vous exposez à coût moyen de 8’000.-.

La peur de l’inconnu

On le comprend rapidement, externaliser dans le Cloud ses serveurs et les données informatiques qui vont avec relève donc a priori du bon sens. Alors pourquoi n’est-ce pas plus souvent le cas dans le TPE et petites PME ? Par crainte, parfois. Souvent, en fait. Ne pas faire confiance à une banque, surtout dans nos contrées, serait une ineptie. Mais faire confiance à un hébergeur, c’est une autre histoire. Particulièrement s’il se trouve en dehors des frontières helvètes. Heureusement, quelques compagnies avec pignon sur rue ont relevé le défi en Suisse romande. Exoscale par exemple, ou encore le géant Swisscom. Chacun dans leur domaine, ils fixent de nouveaux standards et font des pieds et de mains pour rassurer les petits clients.

En 2015, Microsoft a accepté de fournir à la justice les données pour 0.00003% des demandes reçues

Hors du territoire suisse, les géants internationaux font aussi de gros efforts pour attirer la clientèle locale. Disponibilité quasi continue, risque de perte infinitésimal: Microsoft ou Amazon Web Services soignent leurs niveaux de service. Et garantissent une protection hors pair de vos précieux fichiers. Reste le risque légal : si les prestataires suisses gardent un avantage, la révision prochaine de la Loi sur la Protection des Données va amoindrir cet atout. Et les leaders du secteur sont de moins en moins enclins à livrer vos données en pâture à la NSA : en 2015, sur plus de 70’000 demandes d’extraction de données, Microsoft est entré en matière pour 7 cas concernant des entreprises en Europe. Et n’a livré les données que pour 2. Soit environ 0.00003%…

Un spécialiste sinon rien

Bref, vous avez le choix. Mais en tout cas, la protection des données en dehors des vos locaux n’est objectivement plus une source de questionnement. Ceci étant dit, le simple fait de se décider à externaliser ses données n’est pas suffisant. La mise en place au niveau d’une entreprise demande de l’organisation et de la cohérence. Afin de garantir la sécurité des données informatiques, et en conserver le contrôle. En effet, les fuites proviennent le plus souvent de l’utilisation sauvage et désordonnée d’outils grand public. iTunes, Dropbox ou WeTransfer sont parfait pour synchroniser quelques photos. Mais probablement par votre dernier contrat client ou votre grille tarifaire.

Ce manque d’accompagnement constitue le second frein à l’externalisation des données informatiques dans les PME. Il convient donc de mettre tout cela en musique. Avec des outils dédiés aux professionnels, et intégrés à votre environnement et vos processus de fonctionnement. Les PME font alors face à un autre défi : celui du conseil. Du conseil avisé, devrait-on dire. Car l’externalisation des données et des serveurs dans le Cloud devient une affaire de spécialiste. Et les petites entreprises, face au flou que peut leur inspirer le Cloud, sont plus que jamais en attente de recommandations. Adopter à ce moment une vision à 360°, sur vos besoins comme sur votre métier, permet d’adopter une réelle stratégie Cloud, cohérente et pérenne dans le temps.

Encore faut-il tomber sur le bon prestataire de service, direz-vous. A la lecture de ces quelques lignes, vous aurez compris que Steel Blue peut vous accompagner sur le chemin de l’externalisation dans le Cloud. Adossé aux fournisseurs de référence dans le Cloud, nous vous aidons à faire s’évanouir vos craintes. Spécialisé dans le secteur des petites PME, fort de références remarquables en Romandie (Genève, Lausanne, …) ou ailleurs, Steel Blue est le partenaire de choix pour vous aider à transiter vers le Cloud. Demandez-nous de passer vous voir, nous nous ferons un plaisir de vous présenter nos solutions, quel que soit votre secteur d’activité. Et vous aider à enfin protéger vos données comme elles le méritent.

Steel Blue : all inclusive, all right !